Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 17 mars 2012

Première expérience entre couples


Après ce qui s’était passé avec Caroline quelques semaines auparavant, et la prometteuse découverte de notre penchant certain pour un exhibitionnisme décomplexé (je dis décomplexé car nous ne nous étions pas contenté d’exhiber notre nudité aux yeux d’un parfait inconnu, nous lui avions ouvert la porte sur ce que nous avions de plus intime, nos séances de baise frénétiques !), notre réflexion a fait son chemin, et nous nous sommes découverts prêts à franchir une étape supplémentaire, l’ échangisme, ou, dans un premier temps, le mélangisme (dans un cas, il y a échange de partenaires, dans un autre, seulement des couples faisant l’amour côte à côte, sans échange entre partenaires). Et pour cela, nous avions une possibilité qui s’offrait à nous, tout naturellement, c’est de proposer la botte à Caroline, que ma chère épouse avait déjà largement commencé à pervertir, et son mari, qui, nous le savions par elle, ne demandait que ça. En plus, lors des quelques soirées que nous avions passées ensemble, avec quelques autres couples d’amis, je l’avais surpris plus d’une fois à lancer des  regards appuyés sur certaines parties du – très attirant j’en conviens – corps de ma femme, et plus précisément sur son cul ou son décolleté quand elle s’était décidée à montrer un peu, par sa tenue, de sa très jolie poitrine.

Nous avons donc invité Caroline et Pierre, sans savoir si nous étions finalement prêts à franchir cette étape, mais en en ayant la volonté certaine. Nous avions mis Caroline dans la confidence, ayant un peu peur de sa réaction, et ne voulant donc pas la mettre devant le fait accompli lors de cette soirée, en la forçant quelque part à accepter ce qu’elle avait toujours refusé à son mari. A notre grand étonnement, elle fut enthousiasmée par cette idée. C’est incroyable comme certaines femmes, en principe rétives à toute idée d’expérimenter quelque pratique sexuelle sortant un peu de l’ordinaire que ce soit, peuvent soudainement laisser tomber toute pudeur ou toute réticence, et se vautrer dans la luxure la plus sauvage. Caroline faisait partie de ces femmes là, pour notre plus grand bonheur.

Pierre, quant à lui, ne savait rien de nos intentions, et encore moins que sa femme était au courant, et était par ailleurs déjà passée à l’acte en s’offrant à une de ses amies. S’il avait su, j’imagine qu’il aurait tenté de provoquer beaucoup plus tôt ce que nous voulions voir se passer ce soir et, connaissant sa femme, elle se serait certainement braquée si l’initiative était venue de lui, et jamais ce qui est arrivé cette soirée ne se serait produit. Mais de la part d’Aiko, cette proposition avait, comme je l’ai dit plus tôt, provoquée l’enthousiasme de Caroline, et le fait qu’elle ait été formulée alors que ma femme avait sa langue sur le clitoris de son amie a du aider à la convaincre. D’ailleurs, sa réponse était plus proche du « Oui..oui..oui…OUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!! » que du « Oui, je suis d’accord ».

Plus la soirée se rapprochait, plus notre excitation initiale se muait en appréhension. Comment allait-on vivre cette nouvelle expérience ? Comment Pierre allait-il réagir ? Et Caroline, se lâcherait-elle autant devant son mari, ou avec son mari, qu’avec nous ? Et si cela devait changer quelque chose dans les rapports entre Aiko et moi ? Autant de questions dont la réponse ne pouvait pas nous être donnée sans que l’on vive cette soirée jusqu’au bout, sans que nos fantasmes se réalisent en cette occasion.

Le fameux soir arrivait donc. Pierre et son épouse sonnait vers 20h, lui sobrement habillé d’un pantalon noir et d’une chemise bleue ciel, et elle d’une robe noire laissant entrevoir par un discret décolleté une poitrine épanouie…que je connaissais déjà, mais ça, Pierre ne le savait pas. J’avais moi-même un jean noir, et un polo crème, et Aiko, la maîtresse de cérémonie (et de 2 des trois autres convives…pour le moment !) portait une jupe noire au dessus du genou, et un haut moulant mettant en valeur ses délicieux petits seins. Le piège se refermait sur Pierre.

Je ne sais pas si notre conversation tout au long du repas ce soir là a sonné juste ou faux, mais nous n’avions tous les 3 qu’une idée en tête, « qui » allait déclencher les réjouissances, et comment. J’avais l’impression gênante que l’on pouvait lire sur mon visage « partouzeur » et, qu’à un moment ou à un autre, quelque chose allait tout faire foirer. Je me trompais.

Vers 22h30, nous sommes sortis de table pour aller prendre le café dans le salon. Caroline et son mari se sont assis dans le canapé face à la table basse, et je me suis assis sur un des deux fauteuils. Aiko nous a amené le café après quelques minutes passées dans la cuisine, puis elle s’est assise sur un des bras du fauteuil que j’occupais. Tout était en place. A ma grande surprise, c’est Caroline qui a craqué la première, en se penchant sur la table basse pour prendre son café, et en voulant, son café à la main, se redresser, elle fit un faux mouvement qui eu pour effet de renverser quelques gouttes de café sur le pantalon de son mari. Si cet incident n’avait pas eu lieu, la soirée aurait-elle été différente, personne ne peut le dire, mais ce fut cet incident bénin qui déclencha tout. Se confondant en excuses auprès de son mari (ce qui, selon moi, en disait long sur les rapports de « soumission », qu’elle entretenait avec lui), elle s’agenouilla auprès de lui, pris un morceau de sopalin qui trainait sur la table, et fit un geste vers son entrejambe pour essuyer la micro tâche provoquée par le café. Elle n’a jamais fini son geste.

Elle a calmement reposé le papier sur la table, a regardé son mari, s’est tournée vers Aiko et moi, et après avoir dit à voix haute « Et flûte, on est là pour ça, finalement ! » s’est penchée sur son mari, a sorti sa bite de son pantalon, et l’a mis directement dans sa bouche. Je ne vous dis pas la tête de Pierre à ce moment là.  Caroline le pompait comme une morte de faim, tant et si bien que son érection a atteint son maximum en quelques secondes à peine, sans qu’il ne réagisse d’aucune manière, tant il devait être partagé entre le choc de découvrir son épouse en salope déchainée, et le ravissement que cela devait lui procurer. N’avait-t-il pas essayé, selon sa femme, à de nombreuses reprises depuis le début de leur mariage, de la pervertir en essayant de jouir dans sa bouche, prendre son cul ou en lui suggérant qu’elle pourrait s’offrir devant lui à d’autres hommes ou à une femme ? 

Ne voulant pas laisser retomber le soufflé savamment, bien que un peu brusquement, monté par Caroline, ma petite cochonne d’épouse n’est pas restée inerte. Elle s’est levée, a soulevé sa jupe, fait glisser sa culotte le long de ses jambes, puis elle a ouvert ma braguette, a sorti mon sexe, et, me tournant à nouveau le dos, s’est empalée sur moi. Pas besoin de me sucer, mon érection était à son maximum devant le spectacle de la douce et timide Caroline suçant son mari. Et Aiko coulait comme une fontaine !

Les talents de suceuse de Caroline, que je découvrais en cette occasion, eurent rapidement raison de son mari. Ce dernier, craignant sans doute que son épouse se dérobe au dernier moment, lui maintint de ses deux mains la tête contre son ventre, sa queue complètement enfoncée dans sa bouche, et jouit dans un énorme râle, pris de contractions du bas-ventre, aussi nombreuses que finalement drôles à voir. Il avait du lui remplir la bouche de sperme. Le sourire éclairant le visage de Caroline, une fois relevée nous a tous fait comprendre qu’elle avait apprécié le traitement.

Pendant ce temps, Aiko montait et descendait lentement le long de mon sexe, plus concentrée sur le spectacle offert par notre couple d’amis que sur son propre plaisir. Mais sa respiration la trahissait, la pénétration n’était pas sans effet sur elle. Il faut savoir que chez ma femme, toute pénétration de son sexe, que ce soit par un doigt, une queue, un gode ou tout autre chose, est source de plaisir.

Cela dura ainsi quelques minutes, 5 tout au plus, où Caroline et Pierre, assis côte à côte sur le canapé se délectèrent du spectacle peu ordinaire – pour eux – d’une jolie petite asiatique, jupe relevée, s’empalant lentement sur la bite de son mari. Et comme, me tournant le dos, elle leur faisait donc face, je devinais, à voir leurs têtes, et surtout celle de Pierre, qu’elle leur offrait son regard le plus pervers, et Dieu sait qu’elle pouvait faire passer dans ses yeux des abîmes de perversité.

Après, donc, quelques minutes, Pierre se leva et vint se poster face à Aiko, qui, si vous avez tous bien suivi, avait donc un sexe à hauteur de visage. Je ne sais pas si Pierre avait agit spontanément, ou si ma femme lui avait indiqué par je ne sais quel geste de venir, mais le fait était là, ma petite cochonne se trouvait pour la première fois de sa vie dans la situation d’avoir deux sexes masculins à disposition. J’étais curieux de voir comment elle allait s’en sortir. Nous avions vu de nombreux pornos où une femme était honorée par deux vigoureux mâles, que ce soit des actrices professionnelles, ou des amatrices, mais voir sa propre femme dans cette situation, même si l’on est un des deux hommes, ce n’est pas exactement la même chose.
Elle s’en est très bien sortie, mais la suite – et fin – de cette expérience nous a laissé comme un goût amer. Toute expérience de ce type – échangisme, partouze, club libertin -  ne peut s’accomplir de manière positive que si le respect est à la base de tout. Or, à partir de ce moment, il n’y eu plus de respect.

Aiko, après avoir un peu léché le sexe de Pierre encore imprégné des sécrétions intimes de sa femme, pris le gland dans sa bouche pour le sucer, et juste le gland. Elle savait parfaitement que le mouvement de succion de ses lèvres au contact de la base du gland pouvait rendre fou n’importe quel homme. Et, de fait, Pierre péta un peu les plombs. Il saisit de sa main droite la tête de ma femme, à la base de la nuque, et, d’un brutal coup de rein,  pénétra complètement sa bouche, ou presque complètement. Puis il se déchaina à grands coups de rein, baisant sa bouche tout en maintenant sa fermement sa tête. Aiko essayait tant bien que mal de gérer cette brutale domination tout en continuant de s’empaler sur ma queue. De mon côté, j’étais partagé entre l’excitation que la possession de ma femme par un autre homme provoquait en moi, et l’indignation que la force pratiquée par Pierre à l’encontre d’Aiko faisait monter en moi. Il faut dire qu’il accompagnait ses mouvements  de commentaires comme « Tu aimes ça, petite pute », « Je te défonce la bouche, je te baise la bouche, salope », « Tu vas prendre tout mon foutre, tu vas avaler, chienne» ou, pire « Je savais que tu étais une sale cochonne de petite asiate, une pute aux yeux bridés, un garage à bite ». Dans d’autres circonstances, ces mots auraient fait mouiller à mort ma femme, et m’auraient filé une gaule d’enfer, mais là, cela s’apparentait plus à de la violence verbale, à la manifestation d’une frustration non exprimée depuis plusieurs années, à une volonté d’humiliation et à un fort sentiment de supériorité, qu’à des paroles cochonnes destinées à exciter sa partenaire. Il traduisait en mots les pires clichés véhiculés sur les femmes asiatiques, leur passivité et leur volonté d’être dominées, d’être soumise aux désirs des hommes,  et leur fort appétit pour le sexe. Pour le dernier point, concernant Aiko, je dois avouer que c’est 100% le cas, elle adore baiser, mais cette expérience ne lui a vraiment pas plu.

Je vous passe les commentaires lorsque Pierre a enfin joui dans sa bouche, parce que, en plus, cette petite séance a duré assez longtemps, étant donné qu’il venait à peine de jouir dans le corps de sa femme lorsqu’il a entreprit le viol de la bouche de la mienne. Cette jouissance est arrivée comme une délivrance par ma femme, et même par moi. Ma propre jouissance est arrivée à peu près en même temps, mais compte tenu des circonstances, je n’en ai pas vraiment profité.

Suite à ça, Pierre était prêt à recommencer plus tard dans la soirée, nous avons prétexté un coup de fatigue et une visite à la famille le lendemain pour mettre un terme, de manière courtoise, à cette soirée. Caroline nous a d’ailleurs téléphone un peu plus tard, une fois son mari endormi chez elle, pour s’excuser de son comportement. Aiko et moi avions compris ce soir là pourquoi Caroline, qui s’était révélée avec nous être une vraie coquine, refusait à son mari toute fantaisie sexuelle.

Cependant, malgré le sentiment plus que mitigé que nous avait inspiré cette première expérience échangiste, nous n’étions pas prêt à lâcher l’affaire.