Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Un commencement d'exhibitionnisme - 2ème partie


Je l’ai à nouveau saisie aux hanches et j’ai commencé à la baiser bien à fond. Elle appréciait. De temps à autres, je cassai moi aussi mon buste pour aller chercher ses petits seins que je tripotais rageusement, comme ma salope adorée aimait. Elle a toujours aimé, vous le savez si vous lisez ce blog depuis le début, que l’on s’occupe de ses seins de cette manière, et de bien d’autres manières par ailleurs (j’ai d’ailleurs limite peur que, si un jour un parfait inconnu lui prend les seins par surprise, elle ne se donne à lui dans la seconde !). Je relevais aussi son buste, toujours pour malaxer sa poitrine, ou aller chercher par devant son clitoris, puis je la repoussai en avant.

J’ai alors ouvert en grand les rideaux, ce qui m’a valu un regard un peu affolée d’Aiko, qui a brutalement tourné son visage vers moi. Continuant notre petit jeu de domination, je lui ai rebaissé la tête, et j’ai continué de plus belle à la tringler. La fenêtre en face de la nôtre, nous habitons au quatrième étage, abritait un célibataire d’une trentaine d’années, auquel nous connaissions quelques régulières conquêtes (et oui, nous matons aussi quelquefois !). Ce dernier était devant la télévision, et ne semblait pas se préoccuper de nous. Déception.

Après deux ou trois minutes, je ralentissais le rythme ne voulant pas jouir trop vite. Je sortais de sa chatte, la retournait de manière à ce qu’elle s’appuie sur la fenêtre, et, lui ouvrant les jambes, je replongeais de ma langue dans sa fournaise humide. Au dernier degré de l’excitation, elle appuyait de ses deux mains ma tête comme pour m’enfoncer entièrement dans son con. Puis je me relevais, et j’échangeais les rôles. Je m’appuyais dos contre la fenêtre, appuyais sur ses épaules pour la mettre à genoux, et lui enfournais ma queue dans la bouche. Puis je mettais à mon tour mes mains sur sa tête, et, en ayant pris soin d’enlever sa main de ma queue, je lui baisais littéralement la bouche. Presque un viol, si ce n’étais ma femme, et qu’elle n’était pleinement consentante, tant elle aimait le cul.

Cela a duré, je pense, moins d’une minute, mais quelques secondes de plus, et je déchargeais au fond de sa gorge. Elle s’est relevée, et nous nous sommes roulés la plus sensuelle et excitante pelle de notre vie. Puis elle s’est d’elle-même repenchée sur la fenêtre, m’offrant à nouveau son petit postérieur que je me fis une joie de recommencer à défoncer. C’est à ce moment que l’on s’est aperçus que notre voisin était à la fenêtre pour fumer une clope. Et qu’il avait une belle vue de ma cochonne courbée en avant, et de moi derrière en train de la troncher. Inutile de vous dire que notre excitation, déjà à son maximum, a gagné quelques degrés supplémentaires. Mes coups de boutoirs ont pris encore plus de rigueur, et Aiko s’est mise à hurler à chaque fois que mon bas-ventre percutait son cul. En plus de notre vis-à-vis qui avait l’image, nos voisins du dessus et du dessous devaient avoir le son. Le spectacle total !

Il nous matait tranquillement, le sourire aux lèvres, et Aiko ayant relevé la tête (mais pas le buste) devait, j’imagine, le fixer. A ce point du récit je dois vous dire que la rue dans laquelle nous habitons est une petite rue, les deux immeubles sont donc assez proches l’un de l’autre, ce qui permet les échanges de regard dans une situation telle que celle là. La jalousie commençait un peu à me titiller, comme j’imaginais Aiko les yeux dans les yeux avec ce type, plutôt beau mec par ailleurs. Pour marquer mon « territoire », je l’ai relevé, et j’ai passé mes mains sont son débardeur, que j’ai relevé, pour qu’il me voit caresser sa poitrine, puis je lui ai tournée le visage pour l’embrasser à pleine bouche et à pleine langue, tout en pétrissant ses seins.

Sentant ma jouissance proche, Aiko s’est à nouveau appuyée au chambranle de la fenêtre, et j’ai lancé le sprint final, mains crochées sur ses hanches, pour finalement exploser en elle, et m’affaler sur son dos. Une fois remis de nos esprits, je me suis relevé, j’ai regardé le type, et j’ai fermé les rideaux.

Pour une première exhibition, ce fut une réussite. Aiko m’a par la suite avoué avoir adoré être vue en train de baiser, ou plutôt en train de se faire baiser sauvagement, sans que le type puisse intervenir. Elle m’a dit qu’elle aurait adoré, mais ce n’était pas possible car le voyeur n’aurait rien vu car elle aurait du s’accroupir pour cela, que je lui éjacule sur le visage pour qu’elle puisse le fixer dans les yeux, les joues, le front, le nez et les cheveux couverts de mon sperme. Décidemment, même quand je prends l’initiative, elle arrive quand même à être encore plus cochonne que moi !

Un commencement d'exhibitionnisme - 1ère partie


Une fois notre première expérience à trois réalisée, nous avons soufflé un peu, comme si nous avions conscience d’être au bord d’un gouffre, sans notion aucune des conséquences que nous aurions à subir si nous nous y précipitions. Nous avions été aussi loin que nous pouvions, ou tout du moins aussi loin que notre imagination nous avait conduis, à deux. Nous avions réalisé progressivement tout ce qu’un couple peux faire dans l’intimité, fellation, cunnilingus, sodomie, nous nous étions filmés, nous avions utilisé des sextoys, Aiko avait accepté mon sperme sur toute les parties de son corps, sur son visage, dans sa bouche, la seule chose que nous nous refusions de faire était ce qui impliquait l’urine ou pire. Ce n’est pas que nous avions des barrières morales à ce sujet, c’est juste que cela ne nous attirait pas.

Comme nous venions d’inviter une femme dans notre lit, plusieurs suites logiques à nos découvertes sensuelles s’offraient à nous :

- Continuer avec une autre femme, mais cette fois-ci en participant réellement tous les trois, c’est-à-dire que je baiserai aussi la coquine.
- Inviter un autre homme à profiter des charmes de ma jolie japonaise.
- Aller en club libertin et se laisser aller.

Pourtant, nous sommes revenus, pour un temps au moins, à des jeux à deux. Je savais que le tempérament de feu d’Aiko ne pouvait s’exprimer totalement sans y inclure une part d’exhibitionnisme. Nous n’avions jusque là pas franchi le pas dans ce domaine, bien que se mettre en scène pour que je puisse voir en gros plan son visage lors de la première fois où je profitai de son petit cul (cf billets précédents) était, en y réfléchissant bien, un premier pas. Nous regardons d’ailleurs régulièrement ces images, mais nous en gardons un usage strictement privé.

A ce point du récit de notre entrée dans un monde de folies sexuelles, je dois vous avouer une chose. Ma femme et moi, enfin surtout moi tant que ma femme ne maîtrise pas le français à la perfection, sommes des familiers de sites Web d’histoires érotiques, comme Revebebe (je pense d’ailleurs y poster les articles de ce blog, qu’en pensez-vous ?) ou de sites où des amateurs viennent poster leurs vidéos intimes, comme Youporn. Les récits que nous y lisons, ou les films que nous y voyions, nous inspirent et nous donnent des idées pour tenter de nouvelles expériences. Vous pouvez lire sur Revebebe de nombreuses histoires d’exhibitionnisme se déroulant dans des lieux publics : bars, restaurants, jardins publics etc. Nous, nous avons vécus notre expérience à la maison, sans préméditation aucune, ce qui en a, à mon sens, décuplé les effets excitants.

Un dimanche matin, nous étions dans notre appartement à vaquer à nos occupations, moi en jogging et T-shirt, elle en short et débardeur, sans soutien-gorge. Les volets étaient ouverts, mais la forte luminosité et les rideaux tirés de couleur claire ne permettaient sans doute pas aux personnes habitants l’immeuble en face d’avoir vue sur ce qui se passait chez nous. Je passai l’aspirateur, et ma douce faisait la poussière sur les meubles.

A un moment, elle a voulu nettoyer la table basse, et, au lieu de se mettre a genoux pour le faire, comme l’aurait fait n’importe qui, elle est resté bien campée sur ses deux jambes, et a cassé son buste en avant pour dépoussiérer ce meuble, ce qui a eu pour effet mécanique de mettre en évidence son joli cul rebondi.

Nous n’avions pas fait l’amour la nuit précédente et, comment dire, j’avais un début d’érection que cette situation me donnait l’occasion de pouvoir mettre à profit de la plus agréable des manières.

Laissant l’aspirateur tourner pour qu’elle ne m’entende pas, je me suis approché d’elle par derrière, je me suis mis à genoux pour avoir le visage à hauteur de ses fesses, et j’ai mis mes mains sur ses hanches. Sous l’effet de surprise, ses jambes se sont raidies, mais elle s’est bien vite relâchée lorsque j’ai passé mes mains sous l’élastique de son short, et que j’ai commencé à le faire glisser le long de ses jambes. J’ai pu constater que non contente de s’être passée de soutien-gorge, elle s’était aussi passée de porter une petite culotte.

La voilà donc cul nu, les jambes tendues, le buste penché en avant, les deux mains posées à plat sur la table basse. Et moi, heureux homme, à genoux derrière elle, commençant à embrasser ses fesses, tout en passant mon index gauche le long de sa raie offerte. Son léger frémissement quand mon doigt est entré en contact avec ses lèvres intimes m’ont fait comprendre qu’elle n’était pas contre ce petit intermède, bien au contraire. Après quelques va et viens le long de son sexe, j’ai écarté doucement ses fesses pour laisser apparaitre sa jolie chatte, et son petit trou. J’ai alors posé ma langue sur son intimité moite, preuve de son excitation, et je l’ai léchée longuement, passant sans cesse de sa chatte humide à son anus délicieux.

Je me suis régalé de son goût pendant plusieurs minutes, passant ma main sur le côté de son corps pour aller caresser son clitoris, que ma langue avait un peu de mal à atteindre. Mon début d’érection s’est transformé rapidement en solide gaule qu’il devenait urgent de soulager. Après un dernier coup de langue sur son petit trou, je me suis relevé, et je l’ai également relevée. Alors qu’elle voulait se retourner pour, j’imagine, m’embrasser, je l’ai maintenue dos contre mon torse, et, pour ne pas la frustrer, j’ai pris ses seins à pleines mains pour les malaxer fermement. Bien que les femmes asiatiques modernes ne sont pas du tout, comme le veut encore une légende assez couramment répandue, soumises, Aiko aime bien être dominée un peu brutalement quand nous baisons.

Continuant d’une main à profiter au travers de son débardeur de ses craquants petits nichons, je recommençais à passer ma main sur son sexe pour aller titiller son petit bouton. Elle interrompait ses gémissements de « Fuck me ! Please fuck me ! » de plus en plus implorants, en essayant en passant ses mains par derrière de sortir mon sexe de mon jogging. Sans succès.

Je l’ai alors prise par les hanches, tout en collant mon érection encore protégée par le tissu contre ses fesses offertes, et je l’ai poussée vers la fenêtre. Nous voilà marchant difficilement, comme un animal à quatre pattes apprenant à marcher, claudiquant, vers la fenêtre de notre appartement. En arrivant à une cinquantaine de centimètres de notre but, je nous ai arrêtés, et je l’ai faite se pencher en avant, pour prendre appui de ses deux mains sur la chambranle de la fenêtre. Je me suis baissé pour lui offrir une dernier coup de langue sur la chatte, et je me suis relevé.

Je me suis débarrassé de mon jogging et de mon slip en un mouvement, et après avoir parcouru sa fente humide du bout de ma queue, je l’ai vigoureusement pénétrée, lui arrachant un petit « Ah ! », non de surprise car dans la position qui était la sienne, elle devait bien se douter de ce qui allait lui arriver, mais elle n’avait pas du prévoir la violence de ma pénétration.

1+1+1 - 3ème partie


Après 3 ou 4 "j'y vais, j'y vais pas", elle s'est enfin décider à mettre fin au supplice de notre invitée, et a posé le bout de sa langue sur le sexe qui, m'a t’elle dit après, était déjà trempé. Caroline n'a pu s'empêcher de lâcher un "Ah", tant de surprise, que de relâchement de la tension accumulée. Elle a commencé à donner de grands coups de langue, provoquant des gémissements de plus en plus intenses. Caroline a agrippé le drap, tendant son corps sous les coups de langue, puis a lâché le drap de sa main droite pour appuyer la tête de ma cochonne plus fermement sur sa chatte. Elle appréciait le traitement!

Les mains d'Aiko ne restaient pas pour autant inactives, et elles montaient le long du torse de caroline pour venir malaxer brutalement ses seins, ce qui a provoqué un nouveau sursaut de la belle brune. Cela a duré 10 bonnes minutes, qui ont logiquement abouti à l'extrême jouissance de Caroline, qui l'a bruyamment manifesté, en hurlant, d'un hurlement beaucoup plus puissant que les habituels petits cris de jouissance de ma petite salope (ceux qui ont déjà vu un film porno japonais me comprendront). Pendant les soubresauts provoqués par l'orgasme de son amie, Aiko tenait fermement ses cuisses et continuait de plaquer le bout de sa langue sur son clitoris, comme pour tirer le maximum de jouissance de ce petit bout de chair.

Après l’avoir laissé cuvé son plaisir quelques minutes, en restant assise au bout du lit, comme le bourreau contemplant sa victime, Aiko a grimpé à quatre pattes sur le lit, et tel le félin s’apprêtant à fondre sur sa proie, s’est lentement déplacée au dessus de Caroline, mains et genoux de par et d’autre de son corps. Celle-ci, toujours les yeux mi-clos à savourer son orgasme, ne s’est aperçu que trop tard que les genoux de sa surprenante amante (je dis surprenante car je pense, non je suis sûr, qu’en venant ce soir chez nous Caroline n’imaginait pas qu’elle finirait la soirée à se faire lécher par ma femme !) encadrait son visage, ne laissant que quelques centimètres entre sa bouche et le joli sexe de ma femme.

A peine le temps pour elle d’ouvrir la bouche, dont aucun son n’eut le temps de sortir, et Aiko avait plaqué ses lèvres intimes contre les lèvres, moins intimes, de son amie. Ne pouvant décemment pas refuser ce que ma femme venait de lui accorder, elle se mit à lui laper délicatement le sexe, de façon un peu désordonnée au départ. Il était évident que s’occuper du sexe d’une autre femme était une première pour elle. Malgré son inexpérience, Aiko semblait progressivement réceptive au traitement qu’on lui appliquait, et ne pouvait retenir de petits gémissements, discrets certes, mais de plus en plus rapprochés. Malgré tout, devant trouver que cela n’allait pas assez vite, ou assez dans le sens qu’elle le voulait, elle reprit un peu les choses en main. Prenant d’autorité les mains de Caroline, elle les plaqua sur ses seins, et comme pour signifier qu’elle attendait un traitement sur rude, plaqua ses propres mains sur les mains de son amie. Une fois que le travail des mains de Caroline eu commencé à produire son effet (plus encore que les douces caresses sur ses tétons, ma femme adore qu’on lui malaxe les seins avec un peu de violence, le côté soumission populaire au Japon sans doute !), Aiko s’est alors servi de ses mains maintenant libres pour écarter les lèvres de sa chatte pour ainsi dégager le clitoris, et le rendre ainsi directement accessible à la langue de Caroline.

En à peine 10 minutes, Aiko rendait les armes et se laissait aller à une jouissance bien méritée. Caroline roulait sur le dos, allongée à côté de celle qu’elle venait de mener au 7ème ciel, et moi, j’étais toujours dans mon fauteuil, à me masturber, au bord d’exploser.

Aiko m’a fait signe de m’approcher, et j’ai alors pensé que je pourrai participer au jeu. Mais, en fine psychologue, et pensant que ce serait peut-être un peu trop, en tout cas pour le moment, pour Caroline, comme elle me l’a expliqué plus tard, elle s’est assise sur le bord du lit, me demandant de me tenir debout devant elle, elle m’a alors fait un des plus fabuleuses pipes de ma vie, au bout de laquelle, après m’avoir branlé une ou deux minutes, elle m’a laissé jouir sur ses seins. Puis elle s’est retournée vers son amie, et avec un sourire plus que salace, elle a étalé mon sperme sur sa poitrine.

Elles sont alors allées prendre une douche ensemble, me laissant là, perdu dans mes pensées, cuvant ma jouissance, imaginant presque que je venais de rêver.

1+1+1 - 2ème partie


J'étais curieux de voir jusqu'où, en 10 minutes, Aiko avait réussi à pousser Caroline. Je connaissais ma femme, et sa puissance de persuasion pour tout ce qui touchait au sexe, mais je savais aussi que notre amie était plutôt réservée, la monotonie de ses relations sexuelles avec son mari qu'elles nous avait décrite nous le prouvait.

Au bout du couloir, les gémissements que je percevais m'ont laissé entendre que ma petite perverse avait largement pris le dessus sur la réserve de Caroline, ce que me confirmait la vision qui m'apparu lorsque j'ai ouvert la porte de la chambre.

Caroline était sur le lit, asisse, le dos séparé du mur par 3 ou 4 gros oreillers. Son pull voisinait au pied du lit avec son ravissant soutien-gorges en dentelles blanches. Elle avait gardé sa jupe et sa culotte. Aiko était ensoutien-gorge (en coton blanc, pas de quoi sauter au plafond) et slip (en coton blanc aussi). Elle s'occupait avec beaucoup d'enthousiasme des seins de notre amie. Ce que laissait deviner son petit pull moulant vert m'éclatait au visage: elle avait des nichons fabuleux. Pleins, ronds et lourds, avec une charmante petite aréole finie par un mamelon qu'Aiko se faisait un plaire de sucer et de dévorer.

Je suis entré doucement dans la chambre, ne voulant pas rompre le charme de la scène de laquelle j'étais le spectateur hautement privilégié. Malgré mes précautions, Caroline, qui jusque là profitait les yeux clos du ballet de la langue de ma chérie sur ces délicieux tétons, a brusquement ouvert les yeux, dans lesquelles est apparue à ma vue une lueur de panique. Aiko, la sentant sursauter légèrement, a tourné la tête et m'a aperçu. Puis elle m'a fait signe de m'asseoir sur le gros fauteuil dans le coin de la chambre.

Alors, comme pour sécuriser son amie, elle lui a pris la tête entre ses mains pour l'embrasser tendrement. Une fois cette dernière rassurée (je ne sais d'ailleurs pas de quoi elle avait peur? Que je la regarde s'abandonner dans les bras de ma femme, où que je les rejoigne pour participer à la fête), ma femme a ôté son soutif, et a lentement amené les lèvres de sa compagne sur ses jolis petits seins. A ma grande surprise, elle n'a opposé aucune résistance à ma chérie et m'est mise à lui bouffer littéralement les seins, ce qui a naturellement décuplé l'ardeur de ma belle (les seins ont toujours chez elle une zone particulièrement érogène).

Glissant le lont de son torse, Aiko a commençé, en la regardant droit dans les yeux, à lui enlever lentement sa jupe.Une fois celle-ci au pied du lit, elle s'est attaquée à la culotte, en dentelles blanches bien sûr, assortie au soutien-gorges. Et là, le détail qui a fait monter mon excitation de trois crans à la fois, Caroline a soulevé légèrement son bassin, ce qui signifiait sa totale capitulation.

Imaginez la scène. Je suis assis dans un fauteuil, la braguette baissée et le sexe sorti. Une amie de notre couple, une belle femme brune que sa prestance naturelle m'avait toujours dissuadé d'imaginer dans ce genre de situation, est allongée sur le dos sur notre lit, la jupe relevée, la culotte ayant rejoint le reste des vêtements au pied du lit, les jambes écartées, et ma femme, jolie petit bout asiatique dont la perversité n'a pour égal que sa beauté, allongée sur le ventre, le visage à hauteur du sexe brun de notre amie. Une sorte de rêve éveillé!

1+1+1 - 1ère partie


Après cet intermède pour le moins surprenant, en tout cas pour moi, ce fut un peu le calme plat.

Nous n'en avons pas reparlé pendant des semaines. Aiko connaissait parfaitement mon envie de la voir avec une autre femme, mais je ne voulais pas lui demander directement. Connaissant son tempérament et son envie de tout découvrir, je me suis dit qu'un jour ou l'autre, cela arriverait bien.

L'épisode des toilettes a commencé à me donner raison, la suite le confirmera. Quelques semaines plus tard (comme quoi notre vie intîme n'est pas si frénétique que ça), je rentrais un vendredi soir du travail et je trouvais Aiko et Caroline installées dans le salon autour d'un verre.

Le mari de Caroline était en déplacement professionnel à l'étranger, et Caroline était venue passer la soiréeà la maison. J'ai cru comprendre que la conversation avait tourné autour des soupçons de notre invitée sur l'infidélité de son mari. C'est vrai que ce dernier était souvent en déplacement, de plus en plus d'ailleurs, et que , en plus, Caroline ressentait mal son insistance pour l'emmener vers des expériences qu'elle lui avait toujours refusées jusque là (le libertinage, par exemple, la sodomie et même le simple fait d'avaler son sperme).

Bref, elle n'allait pas bien. Moral dans les chaussettes, verre d'alcool -régulièrement rempli par ma femme - à la main, elle était venue pour se confier, dire ce qu'elle avait sur le coeur. Nous avons donc passé une soirée tranquille, entre confidences et anecdotes, autour d'un excellent repas.

Arrivé au café, Aiko est allée dansla cuisine, suivie de Caroline, car elles étaient en plein milieu d'une conversation que j'aurai bien été incapable de poursuivre seul avec notre invitée, vous savez, des trucs de fille, quoi!

Ne les voyant pas revenir de la cuisine après quelques minutes, je suis allé les rejoindre. J'ai tout de suite compris que si elles n'étaient pas encore revenues dans le salon, c'est qu'elles étaient trop occupées.

Aiko avait en quelque sorte coincé Caroline contre l'évier, et lui roulait une pelle d'enfer, un vrai french kiss passionné. Pour éviter de basculer enarrière, une moitié de fesse sur l'évier, Caroline avait posé ses deux mains depart et d'autre de son corps, sur l'inox. Ma femme en profitait pour, d'une main, peloter ses seins au travers du petit pull moulant qu'elle portait, et del 'autre main maintenir la tête de son amie fermement contre son visage, au cas où elle aurait tenté de se dérober à ce sensuel assaut.

Précaution inutile, Caroline avait l'air 100% consentente. Je restais là, dans l'embrasure de la porte, sans rien faire, comme fasciné. Caroline fermait les yeux et se laissait faire complètement. Aiko m'a entendu, et m'a fait signe de partir. Un peu déçu (non, énormément déçu), je retournais dans le salon m'asseoir sur le canapé et prendre une revue.

Deux minutes après, Aiko et Caroline sortait de la cuisine, mais dans la main. Aiko glissa quelques mots à l'oreille de son amie, qui prit la direction de notre chambre à coucher. Puis elle me fit signe de les rejoindre dans 10 minutes. Autant dire que les 10 minutes suivantes me parurent exagérément longues!

Après donc 10 minutes passées à essayer de lire un quelconque article, dont je relisais indéfiniment la phrase d'ouverture tant mon attention était portée vers ce qui, espérais-je, aller se passer, je me dirigeais vers notre chambre à coucher, au bout du couloir. Cette chambre qui en avait déjà vu des vertes et des pas mûres, mais qui, ce soir, allait abriter une étape décisive dans notre chemin vers une sexualité complètement libérée.

Promiscuité


Nous ne sommes pas devenus du jour au lendemain des adeptes forcenés du libertinage. Cela s'est fait vraiment petit à petit, presque naturellement, sans que nous soyions dit un jour "Tiens, si on baisait avec d'autres?".

La première fois que l'idée à germé dans nos coquins esprits, vous l'avez vu, c'est lorsque nous avons utilisé un sex toy. Aiko a pour la première fois eu dans ses orifices deux corps étrangers simultanément, et l'expérience ne lui apas déplu, loin de là.

La deuxième fois fût lors d'une soirée tout ce qu'il a a de plus classique chez des amis. Nous étions 3 couples, plus le couple qui nous avait tous invités. Rassurez-vous, la soirée ne s'est pas finie en orgie, mais il s'est tout de même passé un évènement intéressant.

En milieu de en fin de repas, précisément au moment du café, nous étions tous sortis de table et installés dans le salon (certains sur les fauteuils, d'autres debout, d'autres dans la cuisine à aider la maîtresse de maison). Aiko vient alors me glisser à l'oreille qu'elle artait au toilette soulager une envie pressante, et, en s'éloignant, me fit un petit sourire. Comme je connaissais à bien connaître ma femme (oui, à ce moment, nous étions déjà mariés, j'y reviendrai par la suite), j'attendis 2 minutes, et je la rejoignis.

Bien sûr, elle n'avait pas fermé la porte des toilettes à clé, et elle m'attendait assise sur le siège (elle avait réellement envie de se soulager). Je refermais la porte derrière moi et m'avançais vers elle. Quand elle m'a demandé de fermer la porte à clé, je n'ai rien dit. Je ne l'ai pas fait, à mon tour d'essayer de la surprendre. A tout moment nous pouvions être découverts, et pour une fois, dans l'escalade de notre vie sexuelle, c'est moi qui prenais l'initiative. Je crois que ça l'a excité encore plus!

Pas encore arrivé devant elle, elle s'est penchée et m'a agrippé par le jean pour m'attirer juste à sa hauteur. Elle s'est jetée fébrilement sur ma braguette, en ayant beaucoup de mal à l'ouvrir, car elle tremblait presque d'excitation. Une fois déboutonné, elle a sorti ma queue et l'a enfoncé profondément dans sa bouche.La tension générée par la porte ouverte (enfin, non fermée à clé) et donc la possibilité d'être découvert à tout moment, et les indéniables talents oraux de mon épouse ont fait que je n'ai pas résisté longtemps.

Après 3 ou 4 minutes de ce traitement, ma queue dans le fourreau humide de ses lèvres, une main dans ses cheveux et une malaxant ses seins, j'ai joui et lâché tout mon foutre dans sa jolie petite bouche. Comme à son habitude, elle a tout avalé en me regardant dans les yeux.

Je commençais à me rhabiller quand la porte s'est ouverte. Je me suis retourné, cachant ainsi involontairement Aiko. C'était Caroline, la maîtresse de maison, une jolie femme d'environ 35 ans, brune aux cheveux longs, qui, entendant mon râle de jouissance, a cru que, au contraire, j'étais malade et que je vomissais tripes et boyaux.

- Ca va?
- Euh, oui...
(dialogue un peu con, mais dans ce genre de situation, difficile de faire du Michel Audiard)

A ce moment, elle a vu Aiko qui s'était relevé derrière moi et qui rabaissait sa jupe. Caroline s'est mise brusquement à rougir, sans que je sache si elle était offusquée ou excitée. Après quelques secondes de silence durant lesquelles aucun de nous trois n'a osé bouger, Aiko est passée devant moi et j'ai alors vu ce que beaucoup d'hommes rêvent de voir dans leur vie. Elle s'est mise tout contre Caroline, l'a regardée dans les yeux, comme un défi, puis a lentement pris son visage entre ses mains, et lui a roulé le plus beau patin entre femmes que j'ai vu de ma vie. Elle l'a alors à nouveau fixé dans les yeux, et Caroline, encore plus rouge que précédemment, est sorti en prétextant je ne sais quel raison, mais en pleine confusion.

Autant vous dire que ce petit intermède m'a donné envie d'en voir beaucoup plus.

Ran Monbu


En début de blog, j'ai dit que ma femme ressemblait un peu à Ai Nagase, actrice de films porno au Japon.

En fait, je viens de découvrir une actrice qui lui ressemble beaucoup plus, avec ce mélange d'air enfantin et de profonde perversité dans le regard, Ran Monbu. Je vous laisse juger par vous même de la beauté de cette actrice, qui, dans ses films, n'a peur de rien!











Les objets peuvent donner des idées intéressantes


Même avec nos problèmes de couple, j'ai décidé de continuer ce blog, et ainsi poursuivre l'évocation de notre sexualité.

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Un achat compulsif, c'est quand vous achetez quelque chose dont vous n'avez pas besoin, ou que vous ne pouvez pas utliser. Notre lit n'ayant pas de montant, pas de barreau, on peut donc dire que l'achat d'une paire de menottes fut un achat compulsif.

En revanche, nous avons aussitôt utilisé le vibromasseur. A peine rentrée à la maison le soir, Aiko a déballé son "cadeau", l'a lavé, et est allée avec dans la chambre. Elle s'est déshabillée, s'est allongée sur le dos, et après s'être manuellement caressée pour être sûre d'être assez mouillée pour s'introduire le gode, a commencé à le rentrer centimètre par centimètre, en fronçant un peu des sourcils, ce qui m'a fait comprendre que la pénétration n'était pas si facile que ça.

Puis, une fois sa chatte habituée au diamètre, elle à commencé à se branler avec. La voir offerte comme ça, se donner du plaisir avec notre nouveau jouet m'a rendu dingue, j'ai enlevé mon jean, et me suis approché d'elle pour mettre mes genoux de part et d'autre de son visage, et lui mettre ma queue dans la bouche.

Ce n'était pas facile pour elle, concentrée à la fois sur le gode et la fellation que je lui imposais, c'est pour cela que j'ai vite pris mon propre rythme, sortant de temps en temps mon sexe de sa bouche, pour la faire souffler (Aiko, pas mon sexe), et lui badigeonner le visage de mon gland, et recommençant le viol de sa bouche de plus belle.

Quelques minutes ont suffi à me faire exploser dans sa bouche, et me finir sur son visage, dans ses cheveux...décidemment, c'était la journée éjac' faciale! Elle a joui presque en même temps que moi, hurlant sa jouissance au moment où je finissais de me déverser dans ses cheveux. Voilà un objet déjà bien rentabilisé.

Comme je vous l'ai déjà dit, Aiko ne peut pas se passer de la masturbation, aussi remplie soit notre vie sexuelle. Je pourrais m'en offusquer, mais c'est comme cela qu'elle obtenait jusque là ses orgasmes les plus puissants.

Et puis le spectacle de la voir se donner du plaisir, soit en s'éxhibant devant moi, soit en la surprenant dans la salle de bain, dans son bain, est une des plus belles choses qui m'ait été donné de voir.

Non content de devenir le deuxième amour de ma jolie coquine, le gode nous était d'une autre utilité, à savoir figurer un troisième partenaire fictif. Un jour que je la prenais en levrette sur la moquette de notre chambre, je lui tenais les épaules pour rythmer mes coups de rein, elle a tourné son visage, sa bouche grande ouverte, semblant attendre quelque chose.

J'ai libéré une de mes mains,et je lui ai mis deux doigts dans la bouche (le majeur et l'index), qu'elle s'est mise à sucer concenscieusement. J'ai alors eu l'idée d'aller chercher le gode, son "oh" de dépit quand je suis sorti d'elle s'est vite transformé en sourire coquin en me voyant revenir avec le sextoy.

Comme elle n'avait pas bougé, elle était toujours à quatre pattes, son joli cul dressé attendant la pénétration, je suis revenu derrière elle, et j'ai remis ma queue dans son sexe. Une fois le rythme repris, et retrouvés les halètements qui me prouvaient qu'elle commençait à apprécier la séance, je lui ai donné le gode à sucer, comme si un autre homme se tenait devant elle pour lui prendre la bouche pendant que je la baisais par derrière.

Cette évocation m'a tellement excité que j'ai joui d'un coup, et bruyamment. Comme elle n'avait pas eu le temps de jouir de son côté, j'ai repris le gode que je lui ai enfoncé dans la chatte, et je l'ai baisée par objet interposé, jusqu'à son orgasme. Puis on s'est effondré sur la moquette, côte à côte.

Une fois nos esprits repris, nous nous sommes regardés, et visiblement nous pensions à la même chose. Il était temps de passer à l'étape suivante dans notre découverte d'une sexualité de plus en plus débridée (sans mauvais jeu de mots sur l'origine ethnique de ma femme).

Décidemment


Toujours pas de nouvel article. Il faut dire que notre couple a connu une zone de turbulence, dont nous ne sommes pas tout à fait sortis.

Ma femme m'a trompé. Bon, je sais que notre vie assez débridée, que j'ai commencé à vous décrire dans ce blog, devrait m'ôter toute jalousie.

Seulement voilà, notre relation est basée sur la confiance. On peut baiser avec d'autres, inviter d'autres personnes dans notre lit, voir avoir un coup d'un soir, mais on se dit tout, quand on ne le fait pas ensemble.

Aiko a vu un homme plusieurs fois, et je l'ai découvert par hasard. Voilà.

J'espère que nous allons surmonter ça, j'avoue que j'ai eu du mal à encaisser le coup. Alorsn peut-être à bientôt.

Toutes mes excuses


Non, ce blog n'est pas mort. Mais différents évènements dans ma vie professionnelle et notre vie privée ont fait que j'ai eu moins de temps pour écrire ces derniers temps.
Dès que cela sera possible, je reviendrai vous raconter les moments chauds de notre vie à 2...ou à plus!

Chose promise, chose due


La semaine est passée hyper vite, entre nos balades dans Paris (le Pont des Arts, le Louvres, Montmartre, le Belvédère du parc des Buttes-Chaumont. Tous les endroits romantiques!) et nos séances de cul (moins romantique, mais aussi délectables). Mais de sodomie point. Je ne vais pas dire que ça m'obsédait, mais depuis sa séance de "je me mets un doigt dans le cul pour te faire comprendre que j'aimerais bien que tu m'encules", je ne pensais pratiquement qu'à ça, et je me chargeais d'ailleurs de lui faire comprendre.

A chaque fois que nous baisions, et que je la léchais, je risquais ma langue sur son anus, quand je la caressais, j'y glissais un bout de doigt, mais elle repoussait ma main à chaque fois. Pour la première fois je me surpris à penser qu'Aiko était peut-être, par certains côtés, une diabolique allumeuse.

Le dernier jour de ses vacances, elle me demanda d'aller au cinéma l'après-midi, mais sans elle. Ca me mit un peu en rogne, car je ne voulais pas perdre une minute des derniers moments avec elle. Mais elle se fit convaincante (peut-être le fait qu'elle avait ma bite dans la bouche au moment de me le demander m'a-t-il aidé à être plus malléable).

Le jour dit, j'allais donc au cinéma, avec pour consigne formelle de ne pas rentrer avant 20h. De retour chez moi vers 20h20, je la trouvais nue sur le lit, entourée de bougies, à quatre pattes, le visage face au caméscope (comme je n'avais pas pris mes clés, j'ai du sonner à l'interphone pour qu'elle m'ouvre, comme cela elle a pu se mettre "en position" pour le moment où je suis entré dans l'appartement).

Je fis le tour du lit, pour l'embrasser, et lui demander pourquoi elle avait mis la caméra face à son visage d'ange. Elle me répondit qu'elle voulait voir ses souffrances quand je lui rentrerai ma queue dans les fesses. Délicieux, non? Je me déshabillais en 4 secondes chrono, et venais derrière elle. Elle avait pris soin de mettre un tube de gel sur la table de nuit, elle pense vraiment àtout!

Je me suis d'abord agenouillé derrière elle, pour lui parcourir la rondelle du bout de ma langue. Quand elle a été bien humectée, j'ai commencé à entrer un doigt doucement, le petit doigt pour être précis. Instinctivement, elle a eu un mouvement pour se dérober, mais de la main droite passée sous son ventre, je l'ai reculée brutalement, ce qui a eu pour effet de rentrer mon doigt, que j'avais au préalable enduite de gel tout comme son trou du cul, d'un peu plus d'un centimètre. J'ai vu sur son visage à ce moment là un mélange de souffrance, ses sourcils se sont froncés, d'étonnement devant ma brusquerie et de contentement. Elle aime être "malmenée", gentiment , j'allais m'en rendre compte très vite.

J'ai oubliéde vous dire que, dans son installation, elle avait branché le camescope sur la télé, de façon que je puisse voir les émotions sur son visage pendant son dépucelage anal. Elle, de son côté, ne pouvait voir la télé. Profitant de ce moment, j'ai enfoncé plus loin, sur environ 5 centimètres, mon doigt dans son cul, et j'ai attendu quelques secondes. Sa respiration se faisait plus lourde, sa bouche était ouverte, elle accusait le coup.Puis j'ai remué mon petit doigt, de façon circulaire, pour habituer l'étroit tunnel à cette présence non naturelle. Elle accompagnait ces mouvements de bassin similaires, elle commençait à apprécier la pénétration.

J'ai ressorti alors lentement mon doigt, pour le réenfoncer, et ce 4 ou 5 fois de suite. J'ai changé de doigt, pour cette fois lui mettre le majeur, qui est rentré assez facilement, premier signe d'une fille qui va aimer la sodomie, son anus s'habitue vite à des diamètres de plus en plus gros (pas trop quand même, il nefaut rien exagérer).

J'ai entré et sorti mon doigt plusieurs fois, pendant une à deux minutes, et elle a commencé à gémir peu à peu.C'est elle qui a arrêté ses préliminaires, en me retirant la main qui était plongée entre ses fesses. Un peu surpris, j'ai eu un mouvement de recul. Elle s'est alors appuyé du côté gauche de la tête sur le lit, libérant ainsi ses mains qu'elle a posées sur ses fesses, et les écarter laissant son trou du cul bien ouvert à la future pénétration. "Put your dicknow in my ass, I'm ready, and fuck me hard!". Elle adore parler cru quand on baise, ou même avant qu'on baise, et ça m'excite à mort.

Je me suis redressé, j'ai avancé mon bassin pour être en contact avec son cul, et je l'ai pénétrée fermement, sans brutalité mais sans hésitation. Elle a eu un râle, mêlé de souffrance et de plaisir. La suite est banale, je l'ai enculée pendant une dizaine de minutes, elle s'est redressée pour reprendre appui sur ses mains, pour que je vois son visage d'ange face caméra pendant qu'elle se faisait prendre par derrière.

Je lui caressais les seins, la prenais par les épaules pour lui donner de violents coups de rein. Je me suis même penché en avant, pour tourner sa tête vers le côté et lui enfourner un doigt dans la bouche, qu'elle a sucé comme une bite. Je me suis alors pris à imaginer un autre homme lui baisant la bouche par devant, lui maintenant la bite au fond de la bouche en mettant sa main sur sa nuque, jusqu'à lui éjaculer au fond de la gorge.

J'ai joui rapidement, en m'enfonçant une dernière fois dans son cul, on a du m'entendre dans tout l'immeuble. Elle, de son côté, elle me l'avoua après, n'a pas joui, mais a adoré cette séance anale, et m'a promis de m'offrir son charmant joli petit cul très régulièrement. Une vraie chienne en chaleur, cette asiatique! Je ne sais pas si il y en a beaucoup comme ça au Japon, mais dans ce cas, j'aimerais bien rencontrer ses copines! :o)

Arrivée à Paris

Quelques jours après cette très excitante séance de webcam, Aiko m'a annoncé une autre excellente nouvelle. Elle viendrait une semaine en juin, accompagné d'une amie (prétexte pour ses parents), mais la copine en question, qui était dans la confidence, se débrouillerait seule pour visiter Paris. Aiko et moi aurons bien d'autres choses à faire. :o)

La connaissant, j'étais sûr qu'elle allait me proposer un plan à 3, mais je me trompais. Ce n'est que partie remise. Je suis allée la (les) chercher à Roissy très tôt le matin, levé à 5h, Roissy à7h. Au milieu des passagers, après une quarantaine de minutes d'attente, je vois ma chérie arriver avec sa copine, bien moins jolie qu'elle (finalement, pas de regret pour le plan à trois, quoique ça m'aurait bien fait triper). Elle me saute dans les bras, m'embrasse passionnément, devant sa copine un peu gênée.Visiblement, toutes les japonaises ne sont pas aussi délurées que ma petite salope.

Une fois dans la voiture, Aiko à l'avant et Rie, sa copine, à l'arrière, elle pose sa main sur ma cuisse, et la fait lentement glisser vers mon entrejambe. Elle est à peine là depuis 15 mn, et déjà elle me rend fou. Nous déposons Rie à son hôtel, dans le VIème, vers Odéon, et on file chez moi, dans mon studio du XIXème arrondissement. Durant non longs mois de séparation, nous avions chacun fait le test HIV, pour pouvoir nous affranchir du préservatif, sous toute peu commode (quoique, quand c'est une fille comme elle qui me l'enfile avec sa bouche...ça a ses avantages!).

Là, une fois arrivés chez moi, elle a sorti de sa valise un caméscope numérique dernier cri (pas de pub, mais c'était un Sony), avec le trépied qui va avec.Elle a, comme d'habitude, pensé à tout. Elle s'est déshabillée (en restant toutefois en sous-vêtements), et est allée sous la douche, en m'en interdisant l'accès. Toujours la même tactique, me rendre encore et toujours plus fou.

Après quelques éprouvantes minutes d'attente, elle est ressortie de la salle de bain, toujours en sous-vêtements (d'autres, évidemment), petite culotte helloKitty et soutif blanc en dentelle. Un régal. Je suis allé à mon tout prendre ma douche, pour être propre, frais et dispo pour baiser ma belle.

Quand je suis revenu dans la chambre, Aiko dormait à poings fermés sur ma couette. Il n'y a rien de plus touchant que de regarder la femme qu'on aime dormir, c'est pour cela que je me suis que ce serait une bonne idée de prendre sa caméra pour la filmer, et garder ces images là précieusement. J'ai donc voulu vérifier qu'il y avait une K7.

Il y en avait bien une, mais légèrement entamée. Curieux comme pas deux, je l'ai rembobinée pour la lire. D'abord la salle d'embarquement à Tokyo Narita, où elle a attendu l'avion pour Paris CDG. Ensuite un gros plan d'Aiko, visiblement dans l'avion, la nuit (il faisait sombre, et je n'entendais que le bruit des réacteurs), qui me sussurrait "I can't wait to see you, I have to ease myself."Puis, Aiko dans les toilettes, en contreplongée (vue "de haut").

Elle tenait le caméscope d'une main, à bout de bras, d'où l'image tremblante. De l'autre main,T-shirt et soutif relevés, jean et culotte baissés, elle se branlait. Je vous l'ai dit dans la brève présentation que j'ai fait d'elle, Aiko est une fervente adepte de la masturbation, à la main, avec un gode (on l'a vu précédemment), avec des fruits ou légumes, elle adore se faire jouir. Même dans les périodes où elle baise tous les jours, voire plusieurs fois par jour, il faut qu'elle se branle, c'est plus fort qu'elle.

Son séjour commençait fort.

Webcam surprise


Après une semaine de ce régime, je suis rentré à Paris avec:
- un niveau d'énergie proche de 0.
- le moral en berne.
- la furieuse envie de repartir à Tokyo aussi sec (comme disait Francis Blanche"Je suis allé à Béziers, et j'en suis revenu avec une furieuse envie").
- l'appareil photo numérique bourré de photos d'Aiko dans pleins de positions très excitantes, car la belle adore se faire prendre en photo (et se faire prendre tout court aussi)

J'était tombé gravement amoureux, et pas uniquement en raison de nos ébats passionnés.

Je vais quand même vous présenter celle qui allait devenir ma femme en quelques mots:
- Nom: Aiko (c'est son deuxième prénom, la discrétion veut que je ne donne pasle premier, mais il se termine aussi en -ko, qui veut dire "fille de" en japonais)
- Age: 22 ans en 2003, quand je l'ai rencontré. Pour ma part, j'en ai 10 de plus.
- Taille: 1 mètre 56
- Poids: 44 kilos
- Cheveux: noirs, raides, mi-longs
- Yeux: bruns foncés
- Talents: le chant (folle de karaoké comme beaucoup d'asiatiques) / les langues (pour les parler) / le sexe sous toutes ses formes
- Etudes : secrétariat
- Vit chez ses parents en attendant de se marier, comme beaucoup d’office ladies.
- Taille du soutien-gorge : 85B
- Positions préférées : toutes, mais vous apprendrez tout dans la suite de ce blog.
- Pays visités : aucun encore, à ce moment là de notre histoire.
- Expériences sexuelles avant moi : 2 garçons, dont une relation de 8 mois. Aucune fille, pas de sodomie, pas de triolisme. Fréquentes masturbations dès 15 ans.

Pendant quelques semaines, mauvais temps à Paris aidant, je traînais un cafard d’enfer. Et nos chats quotidiens, voire plusieurs fois par jour, ne me sortaient que rarement de mon état quasi-dépressif.

Elle a alors eu une idée super, que je m’en suis voulu de ne pas avoir eue avant elle. Un samedi, quand nous avons commencé à chatter (il était 10h du mat’ pour moi, et 16h pour elle), elle m’a dit avoir acheté une webcam, et m’a demandé, via MSN, d’accepter la liaison par webcam. Quand la fenêtre de la webcam est apparue sur mon écran, oh joie, j’ai vu mon Aiko presque nue, ne lui restait qu’un joli soutif blanc, avec de petites dentelles, et une queue de cheval(souvenirs, souvenirs).

Quand elle a vu que je m’étais enfin connecté, un grand sourire a envahit son visage. J’étais accro !Le lundi je fonçais à la FNAC Ternes pour m’acheter moi aussi une webcam, et un soutif (non, finalement, que la webcam, pas le soutif). Je vous passe sur les possibilités de tels appareils sur le plan de l’excitation mutuelle, surtout quand la personne vous manque terriblement, mais Aiko n’était jamais à cours d’imagination pour sans cesse renouveler l’intérêt de ce dispositif, le seul frein étant, la plupart du temps, la présence de ses parents dormant dans une pièce à côté (en effet, à part le week-end, je me connectais le plus souvent en rentrant chez moi après le taf vers 19h, il était donc plus d’une ou deux heures du mat’ au Japon. Ceci dit, je soupçonne que ce léger inconvénient excitait encore plus cet amour de petite cochonne).

Cela donnait donc, selon les jours :
- strip-tease sur musiques diverses et variées (de la pop japonaise le plus souvent) quand les parents n’étaient pas là.
- Enlevage de soutif, puis Aiko se caressant les seins sensuellement, en fixant
la webcam.
- Simulacre de pipe sur fruits et légumes toujours plus improbables.
- Masturbation sur le lit, les jambes grandes ouvertes, ou ‘en grenouille’, la caméra bien cadrée sur sa petite chatte.

Une session toutefois a marqué mon esprit, et vous allez vite comprendre pourquoi.

C'était un week-end, vers mai, les parents d'Aiko s'étaient rendu à Kobe voir de la famille, autant dire qu'on a passé notre weekend en face de nos webcams respectives. Dès le samedi matin (pour moi), elle m'a annoncé une surprise, mais je devais attendre le dimanche après-midi. En clair, elle allait passer le weekend à me chauffer à blanc. J'ai évidemment essayé de la faire craquer, de lui soutirer le secret, j'ai joué l'affectif, le chantage, j'ai même promis de faire tout ce qu'elle voulait à travers la webcam pour qu'elle abrège ma souffrance, car oui, je suis curieux, et la connaissant, je suis sur que la surprise valait le coup.

En fin connaisseuse des hommes, et des tortures asiatiques, elle n'a rien cédé, et j'ai du attendre le dimanche, à 15h pile, pour enfin savoir. A l'heure dite, elle est allée dans le placard chercher une boite, d'environ 40 centimètres de longueur. Elle est a sorti un magnifique vibromasseur, de couleur chair, veines apparentes, d'une taille, je le pensais, impressionnante pour l'étroitesse de son vagin. Puis elle s'est déshabillée, de façon neutre (sans faire de strip-tease sexy), et a réglé sa webcam sur le lit.

Elle s'y est allongée, et a ouvert grand les jambes. Après s'être préparée manuellement, 1 doigt, 2 doigts puis trois doigts, elle a commencé à s'introduire le godemichet petit à petit, centimètre après centimètre, et, une fois enfoncé à moitié, l'a ressortit et a entamé un lent va-et-vient dans sa chatte. Elle a jouit bruyamment en quelques minutes, puis s'est rassise sur le lit, et a nettoyé le gode avec sa bouche.

Toujours aussi cochonne, ma petite Aiko. Elle s'est alors mise à quatre pattes, cul vers la caméra, et a passé une main entre ses jambes. Après avoir un peu frotté son sexe, elle a remonté un doigt vers son anus. Il faut vous dire que je ne lui avais jamais proposé de l'enculer, on n'en avait même jamais parlé. Pour être franc, je n'avais alors jamais sodomisé une femme.

Mais revenons à ma jolie nippone. Après avoir titillé son trou du cul du bout de son doigt, le majeur, elle l'a lentement enfoncé dedans, visiblement avec peine (j'entendais ses gémissements). Ca a duré 1 à 2 minutes. Elle s'est alors retournée et assise à nouveau devant son PC. Elle m'a fait un grand sourire en me disant: "I prepared it for you, for the next time we'll meet". Et oui, elle m'offrait son petit cul. Vous imaginez alors mon impatienceà la revoir.

Fellation férroviaire


Je devais repartir une semaine plus tard, et comme elle ne pouvait donner le même prétexte à ses parents toutes les nuits, on se voyait la journée. On mangeait un peu, on se baladait pas mal, on baisait beaucoup. Cette fille était, et est toujours pour mon plus grand bonheur, une dingue de sexe.

Une journée, nous sommes allés à Kyoto, par le train (le fameux Shinkansen, le train à grande vitesse japonais). A peine dans le train, elle m'a pris par la main, et m'a entraîné dans les toilettes. Une fois dans l'exigu compartiment, je me suis assis sur le siège, elle s'est agenouillée devant moi, a commencé à me caresser à travers mon jean, tout en me regardant droit dans les yeux. Une fois que j'étais bien en érection, elle a ouvert ma fermeture éclair, s'est penchée en avant, pour souffler lentement sur mon slip déformé par ma queue. J'ai eu l'impression que ça durait une éternité tellement j'étais pressé qu'elle baisse mon slip et enfourne ma bite dans sa bouche. Elle a senti mon impatience (en même temps, il ne fallait pas être sorcier), et en a profité pour faire durer le supplice en déposant de charmants petits baiser sur ma queue au travers de mon slip. Arrrgh...je connaissais les supplices chinois, pas encore les supplices - délicieux supplices - japonais!

Puis, pour abréger mes souffrances (je voudrais bien souffrir comme ça tous les jours, soit-dit en passant), elle a lentement baissé mon sous-vêtement, à nouveau en plantant son regard dans le sien.

Une fois mon slip enlevé, elle s'est redressée pour se faire une queue de cheval avec un élastique, pour éviter que ses cheveux ne la gènent pendant la pipe. J'adore quand elle fait ça. Et puis elle a relevé son pull, et dégrafé son soutien-gorge, elle avait deviné que d'adore caresser les seins d'une femme qui me suçe (ce que je n'avais pas encore fait avec elle). Elle a une adorable petite poitrine, très sensible. C'est une zone très très érogène chez elle, et s'occuper de ses petits nichons suffit à la mettre dans un état proche de l'excitation suprême.

Se penchant à nouveau, elle a parcouru mon sexe du bout de sa langue, sur plusieurs longueurs. Elle a pris chacun de mes testicules tour à tour dans la bouche, pour les sucer un peu. Elle est ensuite remontée peu à peu le long de ma queue, pour finalement prendre le gland dans sa bouche. Elle l'a sucé comme une tétine pendant quelques secondes, et cela presque réussir à me faire partir.

Aiko est une vraie salope, je l'ai compris à ce moment là. Pas une salope au sens vulgaire (une fille qui se fait sauter par tout ce qui a une bite), mais une salope au sens noble du terme, c'est-à-dire une fille faite pour le sexe, qui intuitivement sait comment rendre fou un mec au lit, qui surprend toujours son amant, pour qui le sexe est un art.

Les choses sérieuses ont alors commencé. Elle a lentement rentré ma queue au fond de sa gorge, et a commencé de langoureux va-et-viens, puis a accéléré peu à peu, a ralenti progressivement, alternant ainsi le rythme pendant de nombreuses minutes. De temps en temps, elle la ressortait pour la lécher tout du long, elle descendait jusqu'aux couilles, et ravalait à nouveau ma bite presque en entier (soit sa gorge était profonde, soit ma bite était finalement assez petite...je préfère pencher pour la première solution).

De temps entemps, je passais une main entre ses bras, pour aller malaxer ses seins, et rouler entre mes doigts ses petits tétons bruns. Chacune de mes caresses lui arrachait un gémissement étouffé par ma bite.

Quand elle m'a senti à point, elle s'est levée, et m'a fait lever également. Je pensais qu'elle voulait que je la baise en levrette, et je dois avouer que j'était un peu déçu qu'elle abandonne sa fellation, mais bon, jusque là, elle ne m'avait jamais permis de jouir dans sa bouche, c'était donc logique. Debout face à face dans ces étroites toilettes, elle nous a fait faire un demi-tour, pour nous retrouver chacun à la place de l'autre, elle au dessus des toilettes, et moi devant elle.

Mais au lieu de se retourner pour s'appuyer sur le dossier des chiottes et me présenter son joli petit cul, elle s'est assise sur le siège, a placé ses mains sur mes fesses pour me faire avancer jusqu'à ce que ma queue se retrouve à nouveau dans sa bouche, puis elle m'a pris la main droite pour la mettre sur sa nuque. J'ai compris qu'elle voulait maintenant que j'impose mon propre rythme, que je lui baise la bouche. Une perle, je vous dis.

J'ai alors commencé a aller et venir dans sa bouche, mais après quelques dizaines de secondes de ce traitement, j'ai senti que ma résistance arrivait à son terme. J'ai donc voulu sortir de sa bouche, mais, de ses deux mains fermement agrippées à mes fesses, elle m'a fait comprendre que je pouvais aller jusqu'au bout. Je pense qu'à ce moment là, mon érection a du prendre 2 nouveaux centimètres. Quelle bombre, cette petite!

Je me suis alors complètement lâché, et après quelques secondes, j'ai explosé dans sa bouche, lui envoyant de longues rasades de sperme au fond de la gorge, qu'elle essayait vaillamment d'avaler au fur et à mesure que je jouissais.Une fois que plus rien ne sortait de ma queue, toujours dans sa bouche, elle a passé sa langue sur toute la longueur, lentement, accompagnant ma débandaison de ses douces caresses buccales. Elle m'a alors remis la queue dans le slip, a remonté mon pantalon, a remis son soutien-gorge, s'est levée, m'a souri et est sortie des toilettes.

J'ai mis quelques secondes pour réaliser le moment fabuleux que je venais de vivre, et, au moment où je m'apprétais à sortir des toilettes, une vieille dame tentait d'y entrer. Quand elle m'a vu sortir, j'ai senti un regard accusateur se poser sur moi et, pour tout vous dire, j'étais plutôt gêné, mais bon, le jeu en valait la chandelle.

Notre rencontre


Avril 2003. Tokyo. J'ai toujours été attiré par le Japon, je suis incapable de dire pourquoi. Les mangas, le cinéma, même la musique japonaise m'intéressent.Et, plus que tout, les japonaises.

Les femmes asiatiques me fascinent, mais il y a chez les japonaises un je ne sais quoi de spécial, peut-être un mélange de candeur et de perversité, d'innocence et de sexualité. Le sexe est considéré comme une chose naturelle chez les japonais, il n'est pas tabou, la pornographie occupe une place importante de la culture de ce pays. Ce n'est pas un hasard si « L'empire des sens » nous vient de là-bas. Des mangas aux films pour adultes (Japan AV pour Adult Video), du bondage àNobuyishi Araki, célèbre photographe érotique, le Japon est un pays très...chaud!

Chaque année, fin mars ou début avril, les japonais célèbrent la floraison des cerisiers (Sakura) entre allant picniquer sous ces arbres dans les jardins publics. Cela s'appelle Hanami. J'étais au Japon depuis quelques jours, et j'avais rencontré une « correspondante », c'est-à-dire une fille dont j'avais auparavant fait la connaissance sur Internet (j'avais la vague idée de me la faire, mais la suite a complètement bouleversé mes plans initiaux). Eriko, puisque c'était son nom, m'avait proposé d'aller manger avec des amis à elle dans un grand parc de Tokyo, pour célébrer Hanami. Pourquoi pas ?Arrivée sur place, nous avons retrouvé une dizaine d'amis à elle, et parmi ces amis, une très jolie fille, au visage d'ange, Aiko.Petite, comme beaucoup de fille du Soleil Levant, de grands yeux bruns, une petite poitrine (pour ce que j'ai pu en juger ce jour là) et un charme incroyable !

Pour vous donner une idée de ce à quoi elle ressemble (par discrétion, je ne publierai pas de photos, ni d'elle, ni de moi), imaginez Ai Nagase, actrice porno, qui lui ressemble assez...(j'illustrerai d'ailleurs parfois mes récits avec les photos de cette délicieuse jeune femme, Aiko est jalouse, mais elle n'a qu'à m'autoriser à publier ses propres photos, car on en a beaucoup...)

On a tous passé un moment sympa, même si j'était largué la plupart du temps, seuls 3 personnes parlant anglais (Eriko, un garçon nommé Sogo, et, par chance, Aiko). Cette dernière s'est d'ailleurs vite rapprochée de Eriko, et elles ont commencé à parler à voix basse, en pouffant, et en me jetant de furtifs regards de temps en temps. A un moment, Eriko, prétextant devoir parler études avec un des garçons à l'autre bout de notre picnic, s'est éclipsée, me laissant seul avec la belle Aiko.

On a alors commencé à parler de tout et de rien, suffisamment en tout cas pour comprendre qu'on avait envie de se revoir. Vers 19h, au moment de se quitter, Eriko est venue me dire qu'elle devait aller chez le garçon avec qui elle avait parlé pour bosser sur un travail à rendre pour ses études. Je pense que c'était un prétexte pour me laisser avec Aiko, et j'en étais d'ailleurs ravi. Nous voilà donc partis tous les deux.

Mon petit hôtel (petit, oui, car au Japon, se loger coûte horriblement cher...) se trouvait non loin de Shibuya, quartier branché de la capitale, lieu de tous les vices et de toutes les excentricités. Aiko m'a alors proposé, en me regardant dans les yeux, de venir passer la nuit avec moi. J'adore les Japonaises...

Arrivés dans la chambre, elle s'est jetée dans mes bras, m'a roulé une pelle d'enfer...je devenais chaud bouillant! Elle m'a alors demandé d'aller prendre une douche, ce que j'allais naturellement faire même si elle n'en avait pas fait la demande...à peine sous la douche, Aiko est venue me rejoindre.

Après un nouveau baiser langoureux, elle est descendue le long de mon corps, et, après m'avoir jeté un regard plus que coquin, elle a commencé à ma sucer, un peu surprise par la taille de ma bite déjà en érection (non pas qu'elle soit de taille exceptionnelle, mais comme, je l'ai appris plus tard, j'étais son premier occidental, la comparaison avec la taille moyenne du sexes des japonais mâles l'a vraiment surprise).

Là, je l'avoue, je n'ai pas vraiment assuré, car j'ai joui presque tout de suite, tellement j'étais excité, et puis Aiko a de vrais talents de fellatrice. Je suis tout de même reste galant, car je l'ai prévenu avant de jouir, elle a sorti ma bite de sa bouche, m'a branlé un peu et j'ai joui sur ses petits seins adorables.

A la fin de la douche, j'avais exploré tout son corps (1m56), mes mains s'étaient posé sur ses seins, sur son jolie petit cul, et j'avais même mis un doigt dans sa chatte étroite. Elle avait apprécié l'hommage...

Une fois dans la chambre, c'était à mon tour de la faire jouir (ou tout du moins, d'essayer...), tout en gardant le temps de me "remettre en forme". Je l'ai donc léché pendant de longues minutes, ses petits cris me faisant comprendre que j'étais sur la bonne voie (ceux qui ont déjà vu un film de cul japonais savent qu'elles jouissent de manière inimitable et très excitante). Elle a fini par jouir, en me pressant la tête contre sa chatte de ses deux mains. 1-1.

Nous avons discuté un peu ensuite, et nous sommes tombés d'accord pour nous revoir. Mais la nuit n'était pas fini pour autant.

Ma femme japonaise


C'est à ce moment là que j'ai eu l'idée de ce blog.

Elle était à quatre pattes au milieu du salon, trois hommes autour d'elle. Elle suçait le premier sur un rythme imposé à la fois par les mouvements de bassin de cet homme et par les coups de boutoirs provoqués par le deuxième homme qui la prenait énergiquement en levrette, les mains sur ses hanches. Le troisième larron, attendant son tour, essayait désespérément de lui caresser les seins, malgré le mouvements saccadés de ma chérie. J'ai alors pensé au long chemin parcouru depuis notre rencontre trois ans plustôt à Tokyo.

Oui, je ne vous l'ai pas encore dit, elle est japonaise, et nous sommes mariés.
Pour commencer, je vais reprendre les articles du mon premier blog, histoire que ceux qui arrivent sur ce blog aient l'histoire dans son intégralité. D'accord? Ok, d'accord!

jeudi 23 février 2012

Je reprends le blog précédemment à l'adresse  http://mannowhere.blogspot.com/ que Blogger m'interdit de pouvoir modifier.