Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Un commencement d'exhibitionnisme - 2ème partie


Je l’ai à nouveau saisie aux hanches et j’ai commencé à la baiser bien à fond. Elle appréciait. De temps à autres, je cassai moi aussi mon buste pour aller chercher ses petits seins que je tripotais rageusement, comme ma salope adorée aimait. Elle a toujours aimé, vous le savez si vous lisez ce blog depuis le début, que l’on s’occupe de ses seins de cette manière, et de bien d’autres manières par ailleurs (j’ai d’ailleurs limite peur que, si un jour un parfait inconnu lui prend les seins par surprise, elle ne se donne à lui dans la seconde !). Je relevais aussi son buste, toujours pour malaxer sa poitrine, ou aller chercher par devant son clitoris, puis je la repoussai en avant.

J’ai alors ouvert en grand les rideaux, ce qui m’a valu un regard un peu affolée d’Aiko, qui a brutalement tourné son visage vers moi. Continuant notre petit jeu de domination, je lui ai rebaissé la tête, et j’ai continué de plus belle à la tringler. La fenêtre en face de la nôtre, nous habitons au quatrième étage, abritait un célibataire d’une trentaine d’années, auquel nous connaissions quelques régulières conquêtes (et oui, nous matons aussi quelquefois !). Ce dernier était devant la télévision, et ne semblait pas se préoccuper de nous. Déception.

Après deux ou trois minutes, je ralentissais le rythme ne voulant pas jouir trop vite. Je sortais de sa chatte, la retournait de manière à ce qu’elle s’appuie sur la fenêtre, et, lui ouvrant les jambes, je replongeais de ma langue dans sa fournaise humide. Au dernier degré de l’excitation, elle appuyait de ses deux mains ma tête comme pour m’enfoncer entièrement dans son con. Puis je me relevais, et j’échangeais les rôles. Je m’appuyais dos contre la fenêtre, appuyais sur ses épaules pour la mettre à genoux, et lui enfournais ma queue dans la bouche. Puis je mettais à mon tour mes mains sur sa tête, et, en ayant pris soin d’enlever sa main de ma queue, je lui baisais littéralement la bouche. Presque un viol, si ce n’étais ma femme, et qu’elle n’était pleinement consentante, tant elle aimait le cul.

Cela a duré, je pense, moins d’une minute, mais quelques secondes de plus, et je déchargeais au fond de sa gorge. Elle s’est relevée, et nous nous sommes roulés la plus sensuelle et excitante pelle de notre vie. Puis elle s’est d’elle-même repenchée sur la fenêtre, m’offrant à nouveau son petit postérieur que je me fis une joie de recommencer à défoncer. C’est à ce moment que l’on s’est aperçus que notre voisin était à la fenêtre pour fumer une clope. Et qu’il avait une belle vue de ma cochonne courbée en avant, et de moi derrière en train de la troncher. Inutile de vous dire que notre excitation, déjà à son maximum, a gagné quelques degrés supplémentaires. Mes coups de boutoirs ont pris encore plus de rigueur, et Aiko s’est mise à hurler à chaque fois que mon bas-ventre percutait son cul. En plus de notre vis-à-vis qui avait l’image, nos voisins du dessus et du dessous devaient avoir le son. Le spectacle total !

Il nous matait tranquillement, le sourire aux lèvres, et Aiko ayant relevé la tête (mais pas le buste) devait, j’imagine, le fixer. A ce point du récit je dois vous dire que la rue dans laquelle nous habitons est une petite rue, les deux immeubles sont donc assez proches l’un de l’autre, ce qui permet les échanges de regard dans une situation telle que celle là. La jalousie commençait un peu à me titiller, comme j’imaginais Aiko les yeux dans les yeux avec ce type, plutôt beau mec par ailleurs. Pour marquer mon « territoire », je l’ai relevé, et j’ai passé mes mains sont son débardeur, que j’ai relevé, pour qu’il me voit caresser sa poitrine, puis je lui ai tournée le visage pour l’embrasser à pleine bouche et à pleine langue, tout en pétrissant ses seins.

Sentant ma jouissance proche, Aiko s’est à nouveau appuyée au chambranle de la fenêtre, et j’ai lancé le sprint final, mains crochées sur ses hanches, pour finalement exploser en elle, et m’affaler sur son dos. Une fois remis de nos esprits, je me suis relevé, j’ai regardé le type, et j’ai fermé les rideaux.

Pour une première exhibition, ce fut une réussite. Aiko m’a par la suite avoué avoir adoré être vue en train de baiser, ou plutôt en train de se faire baiser sauvagement, sans que le type puisse intervenir. Elle m’a dit qu’elle aurait adoré, mais ce n’était pas possible car le voyeur n’aurait rien vu car elle aurait du s’accroupir pour cela, que je lui éjacule sur le visage pour qu’elle puisse le fixer dans les yeux, les joues, le front, le nez et les cheveux couverts de mon sperme. Décidemment, même quand je prends l’initiative, elle arrive quand même à être encore plus cochonne que moi !

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