Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

1+1+1 - 3ème partie


Après 3 ou 4 "j'y vais, j'y vais pas", elle s'est enfin décider à mettre fin au supplice de notre invitée, et a posé le bout de sa langue sur le sexe qui, m'a t’elle dit après, était déjà trempé. Caroline n'a pu s'empêcher de lâcher un "Ah", tant de surprise, que de relâchement de la tension accumulée. Elle a commencé à donner de grands coups de langue, provoquant des gémissements de plus en plus intenses. Caroline a agrippé le drap, tendant son corps sous les coups de langue, puis a lâché le drap de sa main droite pour appuyer la tête de ma cochonne plus fermement sur sa chatte. Elle appréciait le traitement!

Les mains d'Aiko ne restaient pas pour autant inactives, et elles montaient le long du torse de caroline pour venir malaxer brutalement ses seins, ce qui a provoqué un nouveau sursaut de la belle brune. Cela a duré 10 bonnes minutes, qui ont logiquement abouti à l'extrême jouissance de Caroline, qui l'a bruyamment manifesté, en hurlant, d'un hurlement beaucoup plus puissant que les habituels petits cris de jouissance de ma petite salope (ceux qui ont déjà vu un film porno japonais me comprendront). Pendant les soubresauts provoqués par l'orgasme de son amie, Aiko tenait fermement ses cuisses et continuait de plaquer le bout de sa langue sur son clitoris, comme pour tirer le maximum de jouissance de ce petit bout de chair.

Après l’avoir laissé cuvé son plaisir quelques minutes, en restant assise au bout du lit, comme le bourreau contemplant sa victime, Aiko a grimpé à quatre pattes sur le lit, et tel le félin s’apprêtant à fondre sur sa proie, s’est lentement déplacée au dessus de Caroline, mains et genoux de par et d’autre de son corps. Celle-ci, toujours les yeux mi-clos à savourer son orgasme, ne s’est aperçu que trop tard que les genoux de sa surprenante amante (je dis surprenante car je pense, non je suis sûr, qu’en venant ce soir chez nous Caroline n’imaginait pas qu’elle finirait la soirée à se faire lécher par ma femme !) encadrait son visage, ne laissant que quelques centimètres entre sa bouche et le joli sexe de ma femme.

A peine le temps pour elle d’ouvrir la bouche, dont aucun son n’eut le temps de sortir, et Aiko avait plaqué ses lèvres intimes contre les lèvres, moins intimes, de son amie. Ne pouvant décemment pas refuser ce que ma femme venait de lui accorder, elle se mit à lui laper délicatement le sexe, de façon un peu désordonnée au départ. Il était évident que s’occuper du sexe d’une autre femme était une première pour elle. Malgré son inexpérience, Aiko semblait progressivement réceptive au traitement qu’on lui appliquait, et ne pouvait retenir de petits gémissements, discrets certes, mais de plus en plus rapprochés. Malgré tout, devant trouver que cela n’allait pas assez vite, ou assez dans le sens qu’elle le voulait, elle reprit un peu les choses en main. Prenant d’autorité les mains de Caroline, elle les plaqua sur ses seins, et comme pour signifier qu’elle attendait un traitement sur rude, plaqua ses propres mains sur les mains de son amie. Une fois que le travail des mains de Caroline eu commencé à produire son effet (plus encore que les douces caresses sur ses tétons, ma femme adore qu’on lui malaxe les seins avec un peu de violence, le côté soumission populaire au Japon sans doute !), Aiko s’est alors servi de ses mains maintenant libres pour écarter les lèvres de sa chatte pour ainsi dégager le clitoris, et le rendre ainsi directement accessible à la langue de Caroline.

En à peine 10 minutes, Aiko rendait les armes et se laissait aller à une jouissance bien méritée. Caroline roulait sur le dos, allongée à côté de celle qu’elle venait de mener au 7ème ciel, et moi, j’étais toujours dans mon fauteuil, à me masturber, au bord d’exploser.

Aiko m’a fait signe de m’approcher, et j’ai alors pensé que je pourrai participer au jeu. Mais, en fine psychologue, et pensant que ce serait peut-être un peu trop, en tout cas pour le moment, pour Caroline, comme elle me l’a expliqué plus tard, elle s’est assise sur le bord du lit, me demandant de me tenir debout devant elle, elle m’a alors fait un des plus fabuleuses pipes de ma vie, au bout de laquelle, après m’avoir branlé une ou deux minutes, elle m’a laissé jouir sur ses seins. Puis elle s’est retournée vers son amie, et avec un sourire plus que salace, elle a étalé mon sperme sur sa poitrine.

Elles sont alors allées prendre une douche ensemble, me laissant là, perdu dans mes pensées, cuvant ma jouissance, imaginant presque que je venais de rêver.

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