Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

1+1+1 - 1ère partie


Après cet intermède pour le moins surprenant, en tout cas pour moi, ce fut un peu le calme plat.

Nous n'en avons pas reparlé pendant des semaines. Aiko connaissait parfaitement mon envie de la voir avec une autre femme, mais je ne voulais pas lui demander directement. Connaissant son tempérament et son envie de tout découvrir, je me suis dit qu'un jour ou l'autre, cela arriverait bien.

L'épisode des toilettes a commencé à me donner raison, la suite le confirmera. Quelques semaines plus tard (comme quoi notre vie intîme n'est pas si frénétique que ça), je rentrais un vendredi soir du travail et je trouvais Aiko et Caroline installées dans le salon autour d'un verre.

Le mari de Caroline était en déplacement professionnel à l'étranger, et Caroline était venue passer la soiréeà la maison. J'ai cru comprendre que la conversation avait tourné autour des soupçons de notre invitée sur l'infidélité de son mari. C'est vrai que ce dernier était souvent en déplacement, de plus en plus d'ailleurs, et que , en plus, Caroline ressentait mal son insistance pour l'emmener vers des expériences qu'elle lui avait toujours refusées jusque là (le libertinage, par exemple, la sodomie et même le simple fait d'avaler son sperme).

Bref, elle n'allait pas bien. Moral dans les chaussettes, verre d'alcool -régulièrement rempli par ma femme - à la main, elle était venue pour se confier, dire ce qu'elle avait sur le coeur. Nous avons donc passé une soirée tranquille, entre confidences et anecdotes, autour d'un excellent repas.

Arrivé au café, Aiko est allée dansla cuisine, suivie de Caroline, car elles étaient en plein milieu d'une conversation que j'aurai bien été incapable de poursuivre seul avec notre invitée, vous savez, des trucs de fille, quoi!

Ne les voyant pas revenir de la cuisine après quelques minutes, je suis allé les rejoindre. J'ai tout de suite compris que si elles n'étaient pas encore revenues dans le salon, c'est qu'elles étaient trop occupées.

Aiko avait en quelque sorte coincé Caroline contre l'évier, et lui roulait une pelle d'enfer, un vrai french kiss passionné. Pour éviter de basculer enarrière, une moitié de fesse sur l'évier, Caroline avait posé ses deux mains depart et d'autre de son corps, sur l'inox. Ma femme en profitait pour, d'une main, peloter ses seins au travers du petit pull moulant qu'elle portait, et del 'autre main maintenir la tête de son amie fermement contre son visage, au cas où elle aurait tenté de se dérober à ce sensuel assaut.

Précaution inutile, Caroline avait l'air 100% consentente. Je restais là, dans l'embrasure de la porte, sans rien faire, comme fasciné. Caroline fermait les yeux et se laissait faire complètement. Aiko m'a entendu, et m'a fait signe de partir. Un peu déçu (non, énormément déçu), je retournais dans le salon m'asseoir sur le canapé et prendre une revue.

Deux minutes après, Aiko et Caroline sortait de la cuisine, mais dans la main. Aiko glissa quelques mots à l'oreille de son amie, qui prit la direction de notre chambre à coucher. Puis elle me fit signe de les rejoindre dans 10 minutes. Autant dire que les 10 minutes suivantes me parurent exagérément longues!

Après donc 10 minutes passées à essayer de lire un quelconque article, dont je relisais indéfiniment la phrase d'ouverture tant mon attention était portée vers ce qui, espérais-je, aller se passer, je me dirigeais vers notre chambre à coucher, au bout du couloir. Cette chambre qui en avait déjà vu des vertes et des pas mûres, mais qui, ce soir, allait abriter une étape décisive dans notre chemin vers une sexualité complètement libérée.

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