Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 17 mars 2012

Première expérience entre couples


Après ce qui s’était passé avec Caroline quelques semaines auparavant, et la prometteuse découverte de notre penchant certain pour un exhibitionnisme décomplexé (je dis décomplexé car nous ne nous étions pas contenté d’exhiber notre nudité aux yeux d’un parfait inconnu, nous lui avions ouvert la porte sur ce que nous avions de plus intime, nos séances de baise frénétiques !), notre réflexion a fait son chemin, et nous nous sommes découverts prêts à franchir une étape supplémentaire, l’ échangisme, ou, dans un premier temps, le mélangisme (dans un cas, il y a échange de partenaires, dans un autre, seulement des couples faisant l’amour côte à côte, sans échange entre partenaires). Et pour cela, nous avions une possibilité qui s’offrait à nous, tout naturellement, c’est de proposer la botte à Caroline, que ma chère épouse avait déjà largement commencé à pervertir, et son mari, qui, nous le savions par elle, ne demandait que ça. En plus, lors des quelques soirées que nous avions passées ensemble, avec quelques autres couples d’amis, je l’avais surpris plus d’une fois à lancer des  regards appuyés sur certaines parties du – très attirant j’en conviens – corps de ma femme, et plus précisément sur son cul ou son décolleté quand elle s’était décidée à montrer un peu, par sa tenue, de sa très jolie poitrine.

Nous avons donc invité Caroline et Pierre, sans savoir si nous étions finalement prêts à franchir cette étape, mais en en ayant la volonté certaine. Nous avions mis Caroline dans la confidence, ayant un peu peur de sa réaction, et ne voulant donc pas la mettre devant le fait accompli lors de cette soirée, en la forçant quelque part à accepter ce qu’elle avait toujours refusé à son mari. A notre grand étonnement, elle fut enthousiasmée par cette idée. C’est incroyable comme certaines femmes, en principe rétives à toute idée d’expérimenter quelque pratique sexuelle sortant un peu de l’ordinaire que ce soit, peuvent soudainement laisser tomber toute pudeur ou toute réticence, et se vautrer dans la luxure la plus sauvage. Caroline faisait partie de ces femmes là, pour notre plus grand bonheur.

Pierre, quant à lui, ne savait rien de nos intentions, et encore moins que sa femme était au courant, et était par ailleurs déjà passée à l’acte en s’offrant à une de ses amies. S’il avait su, j’imagine qu’il aurait tenté de provoquer beaucoup plus tôt ce que nous voulions voir se passer ce soir et, connaissant sa femme, elle se serait certainement braquée si l’initiative était venue de lui, et jamais ce qui est arrivé cette soirée ne se serait produit. Mais de la part d’Aiko, cette proposition avait, comme je l’ai dit plus tôt, provoquée l’enthousiasme de Caroline, et le fait qu’elle ait été formulée alors que ma femme avait sa langue sur le clitoris de son amie a du aider à la convaincre. D’ailleurs, sa réponse était plus proche du « Oui..oui..oui…OUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!! » que du « Oui, je suis d’accord ».

Plus la soirée se rapprochait, plus notre excitation initiale se muait en appréhension. Comment allait-on vivre cette nouvelle expérience ? Comment Pierre allait-il réagir ? Et Caroline, se lâcherait-elle autant devant son mari, ou avec son mari, qu’avec nous ? Et si cela devait changer quelque chose dans les rapports entre Aiko et moi ? Autant de questions dont la réponse ne pouvait pas nous être donnée sans que l’on vive cette soirée jusqu’au bout, sans que nos fantasmes se réalisent en cette occasion.

Le fameux soir arrivait donc. Pierre et son épouse sonnait vers 20h, lui sobrement habillé d’un pantalon noir et d’une chemise bleue ciel, et elle d’une robe noire laissant entrevoir par un discret décolleté une poitrine épanouie…que je connaissais déjà, mais ça, Pierre ne le savait pas. J’avais moi-même un jean noir, et un polo crème, et Aiko, la maîtresse de cérémonie (et de 2 des trois autres convives…pour le moment !) portait une jupe noire au dessus du genou, et un haut moulant mettant en valeur ses délicieux petits seins. Le piège se refermait sur Pierre.

Je ne sais pas si notre conversation tout au long du repas ce soir là a sonné juste ou faux, mais nous n’avions tous les 3 qu’une idée en tête, « qui » allait déclencher les réjouissances, et comment. J’avais l’impression gênante que l’on pouvait lire sur mon visage « partouzeur » et, qu’à un moment ou à un autre, quelque chose allait tout faire foirer. Je me trompais.

Vers 22h30, nous sommes sortis de table pour aller prendre le café dans le salon. Caroline et son mari se sont assis dans le canapé face à la table basse, et je me suis assis sur un des deux fauteuils. Aiko nous a amené le café après quelques minutes passées dans la cuisine, puis elle s’est assise sur un des bras du fauteuil que j’occupais. Tout était en place. A ma grande surprise, c’est Caroline qui a craqué la première, en se penchant sur la table basse pour prendre son café, et en voulant, son café à la main, se redresser, elle fit un faux mouvement qui eu pour effet de renverser quelques gouttes de café sur le pantalon de son mari. Si cet incident n’avait pas eu lieu, la soirée aurait-elle été différente, personne ne peut le dire, mais ce fut cet incident bénin qui déclencha tout. Se confondant en excuses auprès de son mari (ce qui, selon moi, en disait long sur les rapports de « soumission », qu’elle entretenait avec lui), elle s’agenouilla auprès de lui, pris un morceau de sopalin qui trainait sur la table, et fit un geste vers son entrejambe pour essuyer la micro tâche provoquée par le café. Elle n’a jamais fini son geste.

Elle a calmement reposé le papier sur la table, a regardé son mari, s’est tournée vers Aiko et moi, et après avoir dit à voix haute « Et flûte, on est là pour ça, finalement ! » s’est penchée sur son mari, a sorti sa bite de son pantalon, et l’a mis directement dans sa bouche. Je ne vous dis pas la tête de Pierre à ce moment là.  Caroline le pompait comme une morte de faim, tant et si bien que son érection a atteint son maximum en quelques secondes à peine, sans qu’il ne réagisse d’aucune manière, tant il devait être partagé entre le choc de découvrir son épouse en salope déchainée, et le ravissement que cela devait lui procurer. N’avait-t-il pas essayé, selon sa femme, à de nombreuses reprises depuis le début de leur mariage, de la pervertir en essayant de jouir dans sa bouche, prendre son cul ou en lui suggérant qu’elle pourrait s’offrir devant lui à d’autres hommes ou à une femme ? 

Ne voulant pas laisser retomber le soufflé savamment, bien que un peu brusquement, monté par Caroline, ma petite cochonne d’épouse n’est pas restée inerte. Elle s’est levée, a soulevé sa jupe, fait glisser sa culotte le long de ses jambes, puis elle a ouvert ma braguette, a sorti mon sexe, et, me tournant à nouveau le dos, s’est empalée sur moi. Pas besoin de me sucer, mon érection était à son maximum devant le spectacle de la douce et timide Caroline suçant son mari. Et Aiko coulait comme une fontaine !

Les talents de suceuse de Caroline, que je découvrais en cette occasion, eurent rapidement raison de son mari. Ce dernier, craignant sans doute que son épouse se dérobe au dernier moment, lui maintint de ses deux mains la tête contre son ventre, sa queue complètement enfoncée dans sa bouche, et jouit dans un énorme râle, pris de contractions du bas-ventre, aussi nombreuses que finalement drôles à voir. Il avait du lui remplir la bouche de sperme. Le sourire éclairant le visage de Caroline, une fois relevée nous a tous fait comprendre qu’elle avait apprécié le traitement.

Pendant ce temps, Aiko montait et descendait lentement le long de mon sexe, plus concentrée sur le spectacle offert par notre couple d’amis que sur son propre plaisir. Mais sa respiration la trahissait, la pénétration n’était pas sans effet sur elle. Il faut savoir que chez ma femme, toute pénétration de son sexe, que ce soit par un doigt, une queue, un gode ou tout autre chose, est source de plaisir.

Cela dura ainsi quelques minutes, 5 tout au plus, où Caroline et Pierre, assis côte à côte sur le canapé se délectèrent du spectacle peu ordinaire – pour eux – d’une jolie petite asiatique, jupe relevée, s’empalant lentement sur la bite de son mari. Et comme, me tournant le dos, elle leur faisait donc face, je devinais, à voir leurs têtes, et surtout celle de Pierre, qu’elle leur offrait son regard le plus pervers, et Dieu sait qu’elle pouvait faire passer dans ses yeux des abîmes de perversité.

Après, donc, quelques minutes, Pierre se leva et vint se poster face à Aiko, qui, si vous avez tous bien suivi, avait donc un sexe à hauteur de visage. Je ne sais pas si Pierre avait agit spontanément, ou si ma femme lui avait indiqué par je ne sais quel geste de venir, mais le fait était là, ma petite cochonne se trouvait pour la première fois de sa vie dans la situation d’avoir deux sexes masculins à disposition. J’étais curieux de voir comment elle allait s’en sortir. Nous avions vu de nombreux pornos où une femme était honorée par deux vigoureux mâles, que ce soit des actrices professionnelles, ou des amatrices, mais voir sa propre femme dans cette situation, même si l’on est un des deux hommes, ce n’est pas exactement la même chose.
Elle s’en est très bien sortie, mais la suite – et fin – de cette expérience nous a laissé comme un goût amer. Toute expérience de ce type – échangisme, partouze, club libertin -  ne peut s’accomplir de manière positive que si le respect est à la base de tout. Or, à partir de ce moment, il n’y eu plus de respect.

Aiko, après avoir un peu léché le sexe de Pierre encore imprégné des sécrétions intimes de sa femme, pris le gland dans sa bouche pour le sucer, et juste le gland. Elle savait parfaitement que le mouvement de succion de ses lèvres au contact de la base du gland pouvait rendre fou n’importe quel homme. Et, de fait, Pierre péta un peu les plombs. Il saisit de sa main droite la tête de ma femme, à la base de la nuque, et, d’un brutal coup de rein,  pénétra complètement sa bouche, ou presque complètement. Puis il se déchaina à grands coups de rein, baisant sa bouche tout en maintenant sa fermement sa tête. Aiko essayait tant bien que mal de gérer cette brutale domination tout en continuant de s’empaler sur ma queue. De mon côté, j’étais partagé entre l’excitation que la possession de ma femme par un autre homme provoquait en moi, et l’indignation que la force pratiquée par Pierre à l’encontre d’Aiko faisait monter en moi. Il faut dire qu’il accompagnait ses mouvements  de commentaires comme « Tu aimes ça, petite pute », « Je te défonce la bouche, je te baise la bouche, salope », « Tu vas prendre tout mon foutre, tu vas avaler, chienne» ou, pire « Je savais que tu étais une sale cochonne de petite asiate, une pute aux yeux bridés, un garage à bite ». Dans d’autres circonstances, ces mots auraient fait mouiller à mort ma femme, et m’auraient filé une gaule d’enfer, mais là, cela s’apparentait plus à de la violence verbale, à la manifestation d’une frustration non exprimée depuis plusieurs années, à une volonté d’humiliation et à un fort sentiment de supériorité, qu’à des paroles cochonnes destinées à exciter sa partenaire. Il traduisait en mots les pires clichés véhiculés sur les femmes asiatiques, leur passivité et leur volonté d’être dominées, d’être soumise aux désirs des hommes,  et leur fort appétit pour le sexe. Pour le dernier point, concernant Aiko, je dois avouer que c’est 100% le cas, elle adore baiser, mais cette expérience ne lui a vraiment pas plu.

Je vous passe les commentaires lorsque Pierre a enfin joui dans sa bouche, parce que, en plus, cette petite séance a duré assez longtemps, étant donné qu’il venait à peine de jouir dans le corps de sa femme lorsqu’il a entreprit le viol de la bouche de la mienne. Cette jouissance est arrivée comme une délivrance par ma femme, et même par moi. Ma propre jouissance est arrivée à peu près en même temps, mais compte tenu des circonstances, je n’en ai pas vraiment profité.

Suite à ça, Pierre était prêt à recommencer plus tard dans la soirée, nous avons prétexté un coup de fatigue et une visite à la famille le lendemain pour mettre un terme, de manière courtoise, à cette soirée. Caroline nous a d’ailleurs téléphone un peu plus tard, une fois son mari endormi chez elle, pour s’excuser de son comportement. Aiko et moi avions compris ce soir là pourquoi Caroline, qui s’était révélée avec nous être une vraie coquine, refusait à son mari toute fantaisie sexuelle.

Cependant, malgré le sentiment plus que mitigé que nous avait inspiré cette première expérience échangiste, nous n’étions pas prêt à lâcher l’affaire.

samedi 25 février 2012

Un commencement d'exhibitionnisme - 2ème partie


Je l’ai à nouveau saisie aux hanches et j’ai commencé à la baiser bien à fond. Elle appréciait. De temps à autres, je cassai moi aussi mon buste pour aller chercher ses petits seins que je tripotais rageusement, comme ma salope adorée aimait. Elle a toujours aimé, vous le savez si vous lisez ce blog depuis le début, que l’on s’occupe de ses seins de cette manière, et de bien d’autres manières par ailleurs (j’ai d’ailleurs limite peur que, si un jour un parfait inconnu lui prend les seins par surprise, elle ne se donne à lui dans la seconde !). Je relevais aussi son buste, toujours pour malaxer sa poitrine, ou aller chercher par devant son clitoris, puis je la repoussai en avant.

J’ai alors ouvert en grand les rideaux, ce qui m’a valu un regard un peu affolée d’Aiko, qui a brutalement tourné son visage vers moi. Continuant notre petit jeu de domination, je lui ai rebaissé la tête, et j’ai continué de plus belle à la tringler. La fenêtre en face de la nôtre, nous habitons au quatrième étage, abritait un célibataire d’une trentaine d’années, auquel nous connaissions quelques régulières conquêtes (et oui, nous matons aussi quelquefois !). Ce dernier était devant la télévision, et ne semblait pas se préoccuper de nous. Déception.

Après deux ou trois minutes, je ralentissais le rythme ne voulant pas jouir trop vite. Je sortais de sa chatte, la retournait de manière à ce qu’elle s’appuie sur la fenêtre, et, lui ouvrant les jambes, je replongeais de ma langue dans sa fournaise humide. Au dernier degré de l’excitation, elle appuyait de ses deux mains ma tête comme pour m’enfoncer entièrement dans son con. Puis je me relevais, et j’échangeais les rôles. Je m’appuyais dos contre la fenêtre, appuyais sur ses épaules pour la mettre à genoux, et lui enfournais ma queue dans la bouche. Puis je mettais à mon tour mes mains sur sa tête, et, en ayant pris soin d’enlever sa main de ma queue, je lui baisais littéralement la bouche. Presque un viol, si ce n’étais ma femme, et qu’elle n’était pleinement consentante, tant elle aimait le cul.

Cela a duré, je pense, moins d’une minute, mais quelques secondes de plus, et je déchargeais au fond de sa gorge. Elle s’est relevée, et nous nous sommes roulés la plus sensuelle et excitante pelle de notre vie. Puis elle s’est d’elle-même repenchée sur la fenêtre, m’offrant à nouveau son petit postérieur que je me fis une joie de recommencer à défoncer. C’est à ce moment que l’on s’est aperçus que notre voisin était à la fenêtre pour fumer une clope. Et qu’il avait une belle vue de ma cochonne courbée en avant, et de moi derrière en train de la troncher. Inutile de vous dire que notre excitation, déjà à son maximum, a gagné quelques degrés supplémentaires. Mes coups de boutoirs ont pris encore plus de rigueur, et Aiko s’est mise à hurler à chaque fois que mon bas-ventre percutait son cul. En plus de notre vis-à-vis qui avait l’image, nos voisins du dessus et du dessous devaient avoir le son. Le spectacle total !

Il nous matait tranquillement, le sourire aux lèvres, et Aiko ayant relevé la tête (mais pas le buste) devait, j’imagine, le fixer. A ce point du récit je dois vous dire que la rue dans laquelle nous habitons est une petite rue, les deux immeubles sont donc assez proches l’un de l’autre, ce qui permet les échanges de regard dans une situation telle que celle là. La jalousie commençait un peu à me titiller, comme j’imaginais Aiko les yeux dans les yeux avec ce type, plutôt beau mec par ailleurs. Pour marquer mon « territoire », je l’ai relevé, et j’ai passé mes mains sont son débardeur, que j’ai relevé, pour qu’il me voit caresser sa poitrine, puis je lui ai tournée le visage pour l’embrasser à pleine bouche et à pleine langue, tout en pétrissant ses seins.

Sentant ma jouissance proche, Aiko s’est à nouveau appuyée au chambranle de la fenêtre, et j’ai lancé le sprint final, mains crochées sur ses hanches, pour finalement exploser en elle, et m’affaler sur son dos. Une fois remis de nos esprits, je me suis relevé, j’ai regardé le type, et j’ai fermé les rideaux.

Pour une première exhibition, ce fut une réussite. Aiko m’a par la suite avoué avoir adoré être vue en train de baiser, ou plutôt en train de se faire baiser sauvagement, sans que le type puisse intervenir. Elle m’a dit qu’elle aurait adoré, mais ce n’était pas possible car le voyeur n’aurait rien vu car elle aurait du s’accroupir pour cela, que je lui éjacule sur le visage pour qu’elle puisse le fixer dans les yeux, les joues, le front, le nez et les cheveux couverts de mon sperme. Décidemment, même quand je prends l’initiative, elle arrive quand même à être encore plus cochonne que moi !

Un commencement d'exhibitionnisme - 1ère partie


Une fois notre première expérience à trois réalisée, nous avons soufflé un peu, comme si nous avions conscience d’être au bord d’un gouffre, sans notion aucune des conséquences que nous aurions à subir si nous nous y précipitions. Nous avions été aussi loin que nous pouvions, ou tout du moins aussi loin que notre imagination nous avait conduis, à deux. Nous avions réalisé progressivement tout ce qu’un couple peux faire dans l’intimité, fellation, cunnilingus, sodomie, nous nous étions filmés, nous avions utilisé des sextoys, Aiko avait accepté mon sperme sur toute les parties de son corps, sur son visage, dans sa bouche, la seule chose que nous nous refusions de faire était ce qui impliquait l’urine ou pire. Ce n’est pas que nous avions des barrières morales à ce sujet, c’est juste que cela ne nous attirait pas.

Comme nous venions d’inviter une femme dans notre lit, plusieurs suites logiques à nos découvertes sensuelles s’offraient à nous :

- Continuer avec une autre femme, mais cette fois-ci en participant réellement tous les trois, c’est-à-dire que je baiserai aussi la coquine.
- Inviter un autre homme à profiter des charmes de ma jolie japonaise.
- Aller en club libertin et se laisser aller.

Pourtant, nous sommes revenus, pour un temps au moins, à des jeux à deux. Je savais que le tempérament de feu d’Aiko ne pouvait s’exprimer totalement sans y inclure une part d’exhibitionnisme. Nous n’avions jusque là pas franchi le pas dans ce domaine, bien que se mettre en scène pour que je puisse voir en gros plan son visage lors de la première fois où je profitai de son petit cul (cf billets précédents) était, en y réfléchissant bien, un premier pas. Nous regardons d’ailleurs régulièrement ces images, mais nous en gardons un usage strictement privé.

A ce point du récit de notre entrée dans un monde de folies sexuelles, je dois vous avouer une chose. Ma femme et moi, enfin surtout moi tant que ma femme ne maîtrise pas le français à la perfection, sommes des familiers de sites Web d’histoires érotiques, comme Revebebe (je pense d’ailleurs y poster les articles de ce blog, qu’en pensez-vous ?) ou de sites où des amateurs viennent poster leurs vidéos intimes, comme Youporn. Les récits que nous y lisons, ou les films que nous y voyions, nous inspirent et nous donnent des idées pour tenter de nouvelles expériences. Vous pouvez lire sur Revebebe de nombreuses histoires d’exhibitionnisme se déroulant dans des lieux publics : bars, restaurants, jardins publics etc. Nous, nous avons vécus notre expérience à la maison, sans préméditation aucune, ce qui en a, à mon sens, décuplé les effets excitants.

Un dimanche matin, nous étions dans notre appartement à vaquer à nos occupations, moi en jogging et T-shirt, elle en short et débardeur, sans soutien-gorge. Les volets étaient ouverts, mais la forte luminosité et les rideaux tirés de couleur claire ne permettaient sans doute pas aux personnes habitants l’immeuble en face d’avoir vue sur ce qui se passait chez nous. Je passai l’aspirateur, et ma douce faisait la poussière sur les meubles.

A un moment, elle a voulu nettoyer la table basse, et, au lieu de se mettre a genoux pour le faire, comme l’aurait fait n’importe qui, elle est resté bien campée sur ses deux jambes, et a cassé son buste en avant pour dépoussiérer ce meuble, ce qui a eu pour effet mécanique de mettre en évidence son joli cul rebondi.

Nous n’avions pas fait l’amour la nuit précédente et, comment dire, j’avais un début d’érection que cette situation me donnait l’occasion de pouvoir mettre à profit de la plus agréable des manières.

Laissant l’aspirateur tourner pour qu’elle ne m’entende pas, je me suis approché d’elle par derrière, je me suis mis à genoux pour avoir le visage à hauteur de ses fesses, et j’ai mis mes mains sur ses hanches. Sous l’effet de surprise, ses jambes se sont raidies, mais elle s’est bien vite relâchée lorsque j’ai passé mes mains sous l’élastique de son short, et que j’ai commencé à le faire glisser le long de ses jambes. J’ai pu constater que non contente de s’être passée de soutien-gorge, elle s’était aussi passée de porter une petite culotte.

La voilà donc cul nu, les jambes tendues, le buste penché en avant, les deux mains posées à plat sur la table basse. Et moi, heureux homme, à genoux derrière elle, commençant à embrasser ses fesses, tout en passant mon index gauche le long de sa raie offerte. Son léger frémissement quand mon doigt est entré en contact avec ses lèvres intimes m’ont fait comprendre qu’elle n’était pas contre ce petit intermède, bien au contraire. Après quelques va et viens le long de son sexe, j’ai écarté doucement ses fesses pour laisser apparaitre sa jolie chatte, et son petit trou. J’ai alors posé ma langue sur son intimité moite, preuve de son excitation, et je l’ai léchée longuement, passant sans cesse de sa chatte humide à son anus délicieux.

Je me suis régalé de son goût pendant plusieurs minutes, passant ma main sur le côté de son corps pour aller caresser son clitoris, que ma langue avait un peu de mal à atteindre. Mon début d’érection s’est transformé rapidement en solide gaule qu’il devenait urgent de soulager. Après un dernier coup de langue sur son petit trou, je me suis relevé, et je l’ai également relevée. Alors qu’elle voulait se retourner pour, j’imagine, m’embrasser, je l’ai maintenue dos contre mon torse, et, pour ne pas la frustrer, j’ai pris ses seins à pleines mains pour les malaxer fermement. Bien que les femmes asiatiques modernes ne sont pas du tout, comme le veut encore une légende assez couramment répandue, soumises, Aiko aime bien être dominée un peu brutalement quand nous baisons.

Continuant d’une main à profiter au travers de son débardeur de ses craquants petits nichons, je recommençais à passer ma main sur son sexe pour aller titiller son petit bouton. Elle interrompait ses gémissements de « Fuck me ! Please fuck me ! » de plus en plus implorants, en essayant en passant ses mains par derrière de sortir mon sexe de mon jogging. Sans succès.

Je l’ai alors prise par les hanches, tout en collant mon érection encore protégée par le tissu contre ses fesses offertes, et je l’ai poussée vers la fenêtre. Nous voilà marchant difficilement, comme un animal à quatre pattes apprenant à marcher, claudiquant, vers la fenêtre de notre appartement. En arrivant à une cinquantaine de centimètres de notre but, je nous ai arrêtés, et je l’ai faite se pencher en avant, pour prendre appui de ses deux mains sur la chambranle de la fenêtre. Je me suis baissé pour lui offrir une dernier coup de langue sur la chatte, et je me suis relevé.

Je me suis débarrassé de mon jogging et de mon slip en un mouvement, et après avoir parcouru sa fente humide du bout de ma queue, je l’ai vigoureusement pénétrée, lui arrachant un petit « Ah ! », non de surprise car dans la position qui était la sienne, elle devait bien se douter de ce qui allait lui arriver, mais elle n’avait pas du prévoir la violence de ma pénétration.

1+1+1 - 3ème partie


Après 3 ou 4 "j'y vais, j'y vais pas", elle s'est enfin décider à mettre fin au supplice de notre invitée, et a posé le bout de sa langue sur le sexe qui, m'a t’elle dit après, était déjà trempé. Caroline n'a pu s'empêcher de lâcher un "Ah", tant de surprise, que de relâchement de la tension accumulée. Elle a commencé à donner de grands coups de langue, provoquant des gémissements de plus en plus intenses. Caroline a agrippé le drap, tendant son corps sous les coups de langue, puis a lâché le drap de sa main droite pour appuyer la tête de ma cochonne plus fermement sur sa chatte. Elle appréciait le traitement!

Les mains d'Aiko ne restaient pas pour autant inactives, et elles montaient le long du torse de caroline pour venir malaxer brutalement ses seins, ce qui a provoqué un nouveau sursaut de la belle brune. Cela a duré 10 bonnes minutes, qui ont logiquement abouti à l'extrême jouissance de Caroline, qui l'a bruyamment manifesté, en hurlant, d'un hurlement beaucoup plus puissant que les habituels petits cris de jouissance de ma petite salope (ceux qui ont déjà vu un film porno japonais me comprendront). Pendant les soubresauts provoqués par l'orgasme de son amie, Aiko tenait fermement ses cuisses et continuait de plaquer le bout de sa langue sur son clitoris, comme pour tirer le maximum de jouissance de ce petit bout de chair.

Après l’avoir laissé cuvé son plaisir quelques minutes, en restant assise au bout du lit, comme le bourreau contemplant sa victime, Aiko a grimpé à quatre pattes sur le lit, et tel le félin s’apprêtant à fondre sur sa proie, s’est lentement déplacée au dessus de Caroline, mains et genoux de par et d’autre de son corps. Celle-ci, toujours les yeux mi-clos à savourer son orgasme, ne s’est aperçu que trop tard que les genoux de sa surprenante amante (je dis surprenante car je pense, non je suis sûr, qu’en venant ce soir chez nous Caroline n’imaginait pas qu’elle finirait la soirée à se faire lécher par ma femme !) encadrait son visage, ne laissant que quelques centimètres entre sa bouche et le joli sexe de ma femme.

A peine le temps pour elle d’ouvrir la bouche, dont aucun son n’eut le temps de sortir, et Aiko avait plaqué ses lèvres intimes contre les lèvres, moins intimes, de son amie. Ne pouvant décemment pas refuser ce que ma femme venait de lui accorder, elle se mit à lui laper délicatement le sexe, de façon un peu désordonnée au départ. Il était évident que s’occuper du sexe d’une autre femme était une première pour elle. Malgré son inexpérience, Aiko semblait progressivement réceptive au traitement qu’on lui appliquait, et ne pouvait retenir de petits gémissements, discrets certes, mais de plus en plus rapprochés. Malgré tout, devant trouver que cela n’allait pas assez vite, ou assez dans le sens qu’elle le voulait, elle reprit un peu les choses en main. Prenant d’autorité les mains de Caroline, elle les plaqua sur ses seins, et comme pour signifier qu’elle attendait un traitement sur rude, plaqua ses propres mains sur les mains de son amie. Une fois que le travail des mains de Caroline eu commencé à produire son effet (plus encore que les douces caresses sur ses tétons, ma femme adore qu’on lui malaxe les seins avec un peu de violence, le côté soumission populaire au Japon sans doute !), Aiko s’est alors servi de ses mains maintenant libres pour écarter les lèvres de sa chatte pour ainsi dégager le clitoris, et le rendre ainsi directement accessible à la langue de Caroline.

En à peine 10 minutes, Aiko rendait les armes et se laissait aller à une jouissance bien méritée. Caroline roulait sur le dos, allongée à côté de celle qu’elle venait de mener au 7ème ciel, et moi, j’étais toujours dans mon fauteuil, à me masturber, au bord d’exploser.

Aiko m’a fait signe de m’approcher, et j’ai alors pensé que je pourrai participer au jeu. Mais, en fine psychologue, et pensant que ce serait peut-être un peu trop, en tout cas pour le moment, pour Caroline, comme elle me l’a expliqué plus tard, elle s’est assise sur le bord du lit, me demandant de me tenir debout devant elle, elle m’a alors fait un des plus fabuleuses pipes de ma vie, au bout de laquelle, après m’avoir branlé une ou deux minutes, elle m’a laissé jouir sur ses seins. Puis elle s’est retournée vers son amie, et avec un sourire plus que salace, elle a étalé mon sperme sur sa poitrine.

Elles sont alors allées prendre une douche ensemble, me laissant là, perdu dans mes pensées, cuvant ma jouissance, imaginant presque que je venais de rêver.

1+1+1 - 2ème partie


J'étais curieux de voir jusqu'où, en 10 minutes, Aiko avait réussi à pousser Caroline. Je connaissais ma femme, et sa puissance de persuasion pour tout ce qui touchait au sexe, mais je savais aussi que notre amie était plutôt réservée, la monotonie de ses relations sexuelles avec son mari qu'elles nous avait décrite nous le prouvait.

Au bout du couloir, les gémissements que je percevais m'ont laissé entendre que ma petite perverse avait largement pris le dessus sur la réserve de Caroline, ce que me confirmait la vision qui m'apparu lorsque j'ai ouvert la porte de la chambre.

Caroline était sur le lit, asisse, le dos séparé du mur par 3 ou 4 gros oreillers. Son pull voisinait au pied du lit avec son ravissant soutien-gorges en dentelles blanches. Elle avait gardé sa jupe et sa culotte. Aiko était ensoutien-gorge (en coton blanc, pas de quoi sauter au plafond) et slip (en coton blanc aussi). Elle s'occupait avec beaucoup d'enthousiasme des seins de notre amie. Ce que laissait deviner son petit pull moulant vert m'éclatait au visage: elle avait des nichons fabuleux. Pleins, ronds et lourds, avec une charmante petite aréole finie par un mamelon qu'Aiko se faisait un plaire de sucer et de dévorer.

Je suis entré doucement dans la chambre, ne voulant pas rompre le charme de la scène de laquelle j'étais le spectateur hautement privilégié. Malgré mes précautions, Caroline, qui jusque là profitait les yeux clos du ballet de la langue de ma chérie sur ces délicieux tétons, a brusquement ouvert les yeux, dans lesquelles est apparue à ma vue une lueur de panique. Aiko, la sentant sursauter légèrement, a tourné la tête et m'a aperçu. Puis elle m'a fait signe de m'asseoir sur le gros fauteuil dans le coin de la chambre.

Alors, comme pour sécuriser son amie, elle lui a pris la tête entre ses mains pour l'embrasser tendrement. Une fois cette dernière rassurée (je ne sais d'ailleurs pas de quoi elle avait peur? Que je la regarde s'abandonner dans les bras de ma femme, où que je les rejoigne pour participer à la fête), ma femme a ôté son soutif, et a lentement amené les lèvres de sa compagne sur ses jolis petits seins. A ma grande surprise, elle n'a opposé aucune résistance à ma chérie et m'est mise à lui bouffer littéralement les seins, ce qui a naturellement décuplé l'ardeur de ma belle (les seins ont toujours chez elle une zone particulièrement érogène).

Glissant le lont de son torse, Aiko a commençé, en la regardant droit dans les yeux, à lui enlever lentement sa jupe.Une fois celle-ci au pied du lit, elle s'est attaquée à la culotte, en dentelles blanches bien sûr, assortie au soutien-gorges. Et là, le détail qui a fait monter mon excitation de trois crans à la fois, Caroline a soulevé légèrement son bassin, ce qui signifiait sa totale capitulation.

Imaginez la scène. Je suis assis dans un fauteuil, la braguette baissée et le sexe sorti. Une amie de notre couple, une belle femme brune que sa prestance naturelle m'avait toujours dissuadé d'imaginer dans ce genre de situation, est allongée sur le dos sur notre lit, la jupe relevée, la culotte ayant rejoint le reste des vêtements au pied du lit, les jambes écartées, et ma femme, jolie petit bout asiatique dont la perversité n'a pour égal que sa beauté, allongée sur le ventre, le visage à hauteur du sexe brun de notre amie. Une sorte de rêve éveillé!

1+1+1 - 1ère partie


Après cet intermède pour le moins surprenant, en tout cas pour moi, ce fut un peu le calme plat.

Nous n'en avons pas reparlé pendant des semaines. Aiko connaissait parfaitement mon envie de la voir avec une autre femme, mais je ne voulais pas lui demander directement. Connaissant son tempérament et son envie de tout découvrir, je me suis dit qu'un jour ou l'autre, cela arriverait bien.

L'épisode des toilettes a commencé à me donner raison, la suite le confirmera. Quelques semaines plus tard (comme quoi notre vie intîme n'est pas si frénétique que ça), je rentrais un vendredi soir du travail et je trouvais Aiko et Caroline installées dans le salon autour d'un verre.

Le mari de Caroline était en déplacement professionnel à l'étranger, et Caroline était venue passer la soiréeà la maison. J'ai cru comprendre que la conversation avait tourné autour des soupçons de notre invitée sur l'infidélité de son mari. C'est vrai que ce dernier était souvent en déplacement, de plus en plus d'ailleurs, et que , en plus, Caroline ressentait mal son insistance pour l'emmener vers des expériences qu'elle lui avait toujours refusées jusque là (le libertinage, par exemple, la sodomie et même le simple fait d'avaler son sperme).

Bref, elle n'allait pas bien. Moral dans les chaussettes, verre d'alcool -régulièrement rempli par ma femme - à la main, elle était venue pour se confier, dire ce qu'elle avait sur le coeur. Nous avons donc passé une soirée tranquille, entre confidences et anecdotes, autour d'un excellent repas.

Arrivé au café, Aiko est allée dansla cuisine, suivie de Caroline, car elles étaient en plein milieu d'une conversation que j'aurai bien été incapable de poursuivre seul avec notre invitée, vous savez, des trucs de fille, quoi!

Ne les voyant pas revenir de la cuisine après quelques minutes, je suis allé les rejoindre. J'ai tout de suite compris que si elles n'étaient pas encore revenues dans le salon, c'est qu'elles étaient trop occupées.

Aiko avait en quelque sorte coincé Caroline contre l'évier, et lui roulait une pelle d'enfer, un vrai french kiss passionné. Pour éviter de basculer enarrière, une moitié de fesse sur l'évier, Caroline avait posé ses deux mains depart et d'autre de son corps, sur l'inox. Ma femme en profitait pour, d'une main, peloter ses seins au travers du petit pull moulant qu'elle portait, et del 'autre main maintenir la tête de son amie fermement contre son visage, au cas où elle aurait tenté de se dérober à ce sensuel assaut.

Précaution inutile, Caroline avait l'air 100% consentente. Je restais là, dans l'embrasure de la porte, sans rien faire, comme fasciné. Caroline fermait les yeux et se laissait faire complètement. Aiko m'a entendu, et m'a fait signe de partir. Un peu déçu (non, énormément déçu), je retournais dans le salon m'asseoir sur le canapé et prendre une revue.

Deux minutes après, Aiko et Caroline sortait de la cuisine, mais dans la main. Aiko glissa quelques mots à l'oreille de son amie, qui prit la direction de notre chambre à coucher. Puis elle me fit signe de les rejoindre dans 10 minutes. Autant dire que les 10 minutes suivantes me parurent exagérément longues!

Après donc 10 minutes passées à essayer de lire un quelconque article, dont je relisais indéfiniment la phrase d'ouverture tant mon attention était portée vers ce qui, espérais-je, aller se passer, je me dirigeais vers notre chambre à coucher, au bout du couloir. Cette chambre qui en avait déjà vu des vertes et des pas mûres, mais qui, ce soir, allait abriter une étape décisive dans notre chemin vers une sexualité complètement libérée.

Promiscuité


Nous ne sommes pas devenus du jour au lendemain des adeptes forcenés du libertinage. Cela s'est fait vraiment petit à petit, presque naturellement, sans que nous soyions dit un jour "Tiens, si on baisait avec d'autres?".

La première fois que l'idée à germé dans nos coquins esprits, vous l'avez vu, c'est lorsque nous avons utilisé un sex toy. Aiko a pour la première fois eu dans ses orifices deux corps étrangers simultanément, et l'expérience ne lui apas déplu, loin de là.

La deuxième fois fût lors d'une soirée tout ce qu'il a a de plus classique chez des amis. Nous étions 3 couples, plus le couple qui nous avait tous invités. Rassurez-vous, la soirée ne s'est pas finie en orgie, mais il s'est tout de même passé un évènement intéressant.

En milieu de en fin de repas, précisément au moment du café, nous étions tous sortis de table et installés dans le salon (certains sur les fauteuils, d'autres debout, d'autres dans la cuisine à aider la maîtresse de maison). Aiko vient alors me glisser à l'oreille qu'elle artait au toilette soulager une envie pressante, et, en s'éloignant, me fit un petit sourire. Comme je connaissais à bien connaître ma femme (oui, à ce moment, nous étions déjà mariés, j'y reviendrai par la suite), j'attendis 2 minutes, et je la rejoignis.

Bien sûr, elle n'avait pas fermé la porte des toilettes à clé, et elle m'attendait assise sur le siège (elle avait réellement envie de se soulager). Je refermais la porte derrière moi et m'avançais vers elle. Quand elle m'a demandé de fermer la porte à clé, je n'ai rien dit. Je ne l'ai pas fait, à mon tour d'essayer de la surprendre. A tout moment nous pouvions être découverts, et pour une fois, dans l'escalade de notre vie sexuelle, c'est moi qui prenais l'initiative. Je crois que ça l'a excité encore plus!

Pas encore arrivé devant elle, elle s'est penchée et m'a agrippé par le jean pour m'attirer juste à sa hauteur. Elle s'est jetée fébrilement sur ma braguette, en ayant beaucoup de mal à l'ouvrir, car elle tremblait presque d'excitation. Une fois déboutonné, elle a sorti ma queue et l'a enfoncé profondément dans sa bouche.La tension générée par la porte ouverte (enfin, non fermée à clé) et donc la possibilité d'être découvert à tout moment, et les indéniables talents oraux de mon épouse ont fait que je n'ai pas résisté longtemps.

Après 3 ou 4 minutes de ce traitement, ma queue dans le fourreau humide de ses lèvres, une main dans ses cheveux et une malaxant ses seins, j'ai joui et lâché tout mon foutre dans sa jolie petite bouche. Comme à son habitude, elle a tout avalé en me regardant dans les yeux.

Je commençais à me rhabiller quand la porte s'est ouverte. Je me suis retourné, cachant ainsi involontairement Aiko. C'était Caroline, la maîtresse de maison, une jolie femme d'environ 35 ans, brune aux cheveux longs, qui, entendant mon râle de jouissance, a cru que, au contraire, j'étais malade et que je vomissais tripes et boyaux.

- Ca va?
- Euh, oui...
(dialogue un peu con, mais dans ce genre de situation, difficile de faire du Michel Audiard)

A ce moment, elle a vu Aiko qui s'était relevé derrière moi et qui rabaissait sa jupe. Caroline s'est mise brusquement à rougir, sans que je sache si elle était offusquée ou excitée. Après quelques secondes de silence durant lesquelles aucun de nous trois n'a osé bouger, Aiko est passée devant moi et j'ai alors vu ce que beaucoup d'hommes rêvent de voir dans leur vie. Elle s'est mise tout contre Caroline, l'a regardée dans les yeux, comme un défi, puis a lentement pris son visage entre ses mains, et lui a roulé le plus beau patin entre femmes que j'ai vu de ma vie. Elle l'a alors à nouveau fixé dans les yeux, et Caroline, encore plus rouge que précédemment, est sorti en prétextant je ne sais quel raison, mais en pleine confusion.

Autant vous dire que ce petit intermède m'a donné envie d'en voir beaucoup plus.