Après ce qui s’était passé avec Caroline quelques semaines
auparavant, et la prometteuse découverte de notre penchant certain pour un
exhibitionnisme décomplexé (je dis décomplexé car nous ne nous étions pas
contenté d’exhiber notre nudité aux yeux d’un parfait inconnu, nous lui avions
ouvert la porte sur ce que nous avions de plus intime, nos séances de baise
frénétiques !), notre réflexion a fait son chemin, et nous nous sommes
découverts prêts à franchir une étape supplémentaire, l’ échangisme, ou,
dans un premier temps, le mélangisme (dans un cas, il y a échange de
partenaires, dans un autre, seulement des couples faisant l’amour côte à côte,
sans échange entre partenaires). Et pour cela, nous avions une possibilité qui s’offrait
à nous, tout naturellement, c’est de proposer la botte à Caroline, que ma chère
épouse avait déjà largement commencé à pervertir, et son mari, qui, nous le
savions par elle, ne demandait que ça. En plus, lors des quelques soirées que
nous avions passées ensemble, avec quelques autres couples d’amis, je l’avais
surpris plus d’une fois à lancer des
regards appuyés sur certaines parties du – très attirant j’en conviens –
corps de ma femme, et plus précisément sur son cul ou son décolleté quand elle s’était
décidée à montrer un peu, par sa tenue, de sa très jolie poitrine.
Nous avons donc invité Caroline et Pierre, sans savoir si
nous étions finalement prêts à franchir cette étape, mais en en ayant la
volonté certaine. Nous avions mis Caroline dans la confidence, ayant un peu
peur de sa réaction, et ne voulant donc pas la mettre devant le fait accompli
lors de cette soirée, en la forçant quelque part à accepter ce qu’elle avait
toujours refusé à son mari. A notre grand étonnement, elle fut enthousiasmée
par cette idée. C’est incroyable comme certaines femmes, en principe rétives à
toute idée d’expérimenter quelque pratique sexuelle sortant un peu de
l’ordinaire que ce soit, peuvent soudainement laisser tomber toute pudeur ou
toute réticence, et se vautrer dans la luxure la plus sauvage. Caroline faisait
partie de ces femmes là, pour notre plus grand bonheur.
Pierre, quant à lui, ne savait rien de nos intentions, et
encore moins que sa femme était au courant, et était par ailleurs déjà passée à
l’acte en s’offrant à une de ses amies. S’il avait su, j’imagine qu’il aurait
tenté de provoquer beaucoup plus tôt ce que nous voulions voir se passer ce
soir et, connaissant sa femme, elle se serait certainement braquée si
l’initiative était venue de lui, et jamais ce qui est arrivé cette soirée ne se
serait produit. Mais de la part d’Aiko, cette proposition avait, comme je l’ai
dit plus tôt, provoquée l’enthousiasme de Caroline, et le fait qu’elle ait été
formulée alors que ma femme avait sa langue sur le clitoris de son amie a du
aider à la convaincre. D’ailleurs, sa réponse était plus proche du
« Oui..oui..oui…OUIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!! » que du
« Oui, je suis d’accord ».
Plus la soirée se rapprochait, plus notre excitation
initiale se muait en appréhension. Comment allait-on vivre cette nouvelle
expérience ? Comment Pierre allait-il réagir ? Et Caroline, se
lâcherait-elle autant devant son mari, ou avec son mari, qu’avec nous ? Et
si cela devait changer quelque chose dans les rapports entre Aiko et moi ?
Autant de questions dont la réponse ne pouvait pas nous être donnée sans que
l’on vive cette soirée jusqu’au bout, sans que nos fantasmes se réalisent en
cette occasion.
Le fameux soir arrivait donc. Pierre et son épouse sonnait
vers 20h, lui sobrement habillé d’un pantalon noir et d’une chemise bleue ciel,
et elle d’une robe noire laissant entrevoir par un discret décolleté une
poitrine épanouie…que je connaissais déjà, mais ça, Pierre ne le savait pas.
J’avais moi-même un jean noir, et un polo crème, et Aiko, la maîtresse de
cérémonie (et de 2 des trois autres convives…pour le moment !) portait une
jupe noire au dessus du genou, et un haut moulant mettant en valeur ses
délicieux petits seins. Le piège se refermait sur Pierre.
Je ne sais pas si notre conversation tout au long du repas
ce soir là a sonné juste ou faux, mais nous n’avions tous les 3 qu’une idée en
tête, « qui » allait déclencher les réjouissances, et comment.
J’avais l’impression gênante que l’on pouvait lire sur mon visage
« partouzeur » et, qu’à un moment ou à un autre, quelque chose allait
tout faire foirer. Je me trompais.
Vers 22h30, nous sommes sortis de table pour aller prendre
le café dans le salon. Caroline et son mari se sont assis dans le canapé face à
la table basse, et je me suis assis sur un des deux fauteuils. Aiko nous a
amené le café après quelques minutes passées dans la cuisine, puis elle s’est
assise sur un des bras du fauteuil que j’occupais. Tout était en place. A ma
grande surprise, c’est Caroline qui a craqué la première, en se penchant sur la
table basse pour prendre son café, et en voulant, son café à la main, se
redresser, elle fit un faux mouvement qui eu pour effet de renverser quelques
gouttes de café sur le pantalon de son mari. Si cet incident n’avait pas eu
lieu, la soirée aurait-elle été différente, personne ne peut le dire, mais ce
fut cet incident bénin qui déclencha tout. Se confondant en excuses auprès de
son mari (ce qui, selon moi, en disait long sur les rapports de
« soumission », qu’elle entretenait avec lui), elle s’agenouilla
auprès de lui, pris un morceau de sopalin qui trainait sur la table, et fit un
geste vers son entrejambe pour essuyer la micro tâche provoquée par le café.
Elle n’a jamais fini son geste.
Elle a calmement reposé le papier sur la table, a regardé
son mari, s’est tournée vers Aiko et moi, et après avoir dit à voix haute
« Et flûte, on est là pour ça, finalement ! » s’est penchée sur
son mari, a sorti sa bite de son pantalon, et l’a mis directement dans sa
bouche. Je ne vous dis pas la tête de Pierre à ce moment là. Caroline le pompait comme une morte de faim,
tant et si bien que son érection a atteint son maximum en quelques secondes à
peine, sans qu’il ne réagisse d’aucune manière, tant il devait être partagé
entre le choc de découvrir son épouse en salope déchainée, et le ravissement
que cela devait lui procurer. N’avait-t-il pas essayé, selon sa femme, à de
nombreuses reprises depuis le début de leur mariage, de la pervertir en
essayant de jouir dans sa bouche, prendre son cul ou en lui suggérant qu’elle
pourrait s’offrir devant lui à d’autres hommes ou à une femme ?
Ne voulant pas laisser retomber le soufflé savamment, bien
que un peu brusquement, monté par Caroline, ma petite cochonne d’épouse n’est
pas restée inerte. Elle s’est levée, a soulevé sa jupe, fait glisser sa culotte
le long de ses jambes, puis elle a ouvert ma braguette, a sorti mon sexe, et,
me tournant à nouveau le dos, s’est empalée sur moi. Pas besoin de me sucer,
mon érection était à son maximum devant le spectacle de la douce et timide
Caroline suçant son mari. Et Aiko coulait comme une fontaine !
Les talents de suceuse de Caroline, que je découvrais en
cette occasion, eurent rapidement raison de son mari. Ce dernier, craignant
sans doute que son épouse se dérobe au dernier moment, lui maintint de ses deux
mains la tête contre son ventre, sa queue complètement enfoncée dans sa bouche,
et jouit dans un énorme râle, pris de contractions du bas-ventre, aussi
nombreuses que finalement drôles à voir. Il avait du lui remplir la bouche de
sperme. Le sourire éclairant le visage de Caroline, une fois relevée nous a
tous fait comprendre qu’elle avait apprécié le traitement.
Pendant ce temps, Aiko montait et descendait lentement le
long de mon sexe, plus concentrée sur le spectacle offert par notre couple
d’amis que sur son propre plaisir. Mais sa respiration la trahissait, la
pénétration n’était pas sans effet sur elle. Il faut savoir que chez ma femme,
toute pénétration de son sexe, que ce soit par un doigt, une queue, un gode ou
tout autre chose, est source de plaisir.
Cela dura ainsi quelques minutes, 5 tout au plus, où
Caroline et Pierre, assis côte à côte sur le canapé se délectèrent du spectacle
peu ordinaire – pour eux – d’une jolie petite asiatique, jupe relevée,
s’empalant lentement sur la bite de son mari. Et comme, me tournant le dos,
elle leur faisait donc face, je devinais, à voir leurs têtes, et surtout celle
de Pierre, qu’elle leur offrait son regard le plus pervers, et Dieu sait
qu’elle pouvait faire passer dans ses yeux des abîmes de perversité.
Après, donc, quelques minutes, Pierre se leva et vint se
poster face à Aiko, qui, si vous avez tous bien suivi, avait donc un sexe à
hauteur de visage. Je ne sais pas si Pierre avait agit spontanément, ou si ma
femme lui avait indiqué par je ne sais quel geste de venir, mais le fait était
là, ma petite cochonne se trouvait pour la première fois de sa vie dans la
situation d’avoir deux sexes masculins à disposition. J’étais curieux de voir
comment elle allait s’en sortir. Nous avions vu de nombreux pornos où une femme
était honorée par deux vigoureux mâles, que ce soit des actrices
professionnelles, ou des amatrices, mais voir sa propre femme dans cette
situation, même si l’on est un des deux hommes, ce n’est pas exactement la même
chose.
Elle s’en est très bien sortie, mais la suite – et fin – de
cette expérience nous a laissé comme un goût amer. Toute expérience de ce type
– échangisme, partouze, club libertin -
ne peut s’accomplir de manière positive que si le respect est à la base
de tout. Or, à partir de ce moment, il n’y eu plus de respect.
Aiko, après avoir un peu léché le sexe de Pierre encore
imprégné des sécrétions intimes de sa femme, pris le gland dans sa bouche pour
le sucer, et juste le gland. Elle savait parfaitement que le mouvement de
succion de ses lèvres au contact de la base du gland pouvait rendre fou
n’importe quel homme. Et, de fait, Pierre péta un peu les plombs. Il saisit de
sa main droite la tête de ma femme, à la base de la nuque, et, d’un brutal coup
de rein, pénétra complètement sa bouche,
ou presque complètement. Puis il se déchaina à grands coups de rein, baisant sa
bouche tout en maintenant sa fermement sa tête. Aiko essayait tant bien que mal
de gérer cette brutale domination tout en continuant de s’empaler sur ma queue.
De mon côté, j’étais partagé entre l’excitation que la possession de ma femme
par un autre homme provoquait en moi, et l’indignation que la force pratiquée
par Pierre à l’encontre d’Aiko faisait monter en moi. Il faut dire qu’il accompagnait
ses mouvements de commentaires comme
« Tu aimes ça, petite pute », « Je te défonce la bouche, je te
baise la bouche, salope », « Tu vas prendre tout mon foutre, tu vas
avaler, chienne» ou, pire « Je savais que tu étais une sale cochonne de
petite asiate, une pute aux yeux bridés, un garage à bite ». Dans d’autres
circonstances, ces mots auraient fait mouiller à mort ma femme, et m’auraient
filé une gaule d’enfer, mais là, cela s’apparentait plus à de la violence
verbale, à la manifestation d’une frustration non exprimée depuis plusieurs
années, à une volonté d’humiliation et à un fort sentiment de supériorité, qu’à
des paroles cochonnes destinées à exciter sa partenaire. Il traduisait en mots
les pires clichés véhiculés sur les femmes asiatiques, leur passivité et leur
volonté d’être dominées, d’être soumise aux désirs des hommes, et leur fort appétit pour le sexe. Pour le
dernier point, concernant Aiko, je dois avouer que c’est 100% le cas, elle
adore baiser, mais cette expérience ne lui a vraiment pas plu.
Je vous passe les commentaires lorsque Pierre a enfin joui
dans sa bouche, parce que, en plus, cette petite séance a duré assez longtemps,
étant donné qu’il venait à peine de jouir dans le corps de sa femme lorsqu’il a
entreprit le viol de la bouche de la mienne. Cette jouissance est arrivée comme
une délivrance par ma femme, et même par moi. Ma propre jouissance est arrivée
à peu près en même temps, mais compte tenu des circonstances, je n’en ai pas
vraiment profité.
Suite à ça, Pierre était prêt à recommencer plus tard dans
la soirée, nous avons prétexté un coup de fatigue et une visite à la famille le
lendemain pour mettre un terme, de manière courtoise, à cette soirée. Caroline
nous a d’ailleurs téléphone un peu plus tard, une fois son mari endormi chez
elle, pour s’excuser de son comportement. Aiko et moi avions compris ce soir là
pourquoi Caroline, qui s’était révélée avec nous être une vraie coquine,
refusait à son mari toute fantaisie sexuelle.
Cependant, malgré le sentiment plus que mitigé que nous
avait inspiré cette première expérience échangiste, nous n’étions pas prêt à
lâcher l’affaire.